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Paul Blart: Flic du mail (Paul Blart: Mall Cop)

É.-U. 2009. Comédie de Steve Carr avec Kevin James, Keir O'Donnell, Jayma Mays. Le gardien de sécurité obèse d'un centre commercial tente de mettre en échec les malfaiteurs qui ont pris en otage la jeune commerçante dont il est amoureux. Repiquage de vieux gags, dont certains d'un goût douteux. Scénario truffé de clichés et manquant résolument d'ambition. Mise en scène fonctionnelle. Interprétation limitée quoique plutôt enthousiaste. (sortie en salle: 16 janvier 2009)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Paul Blart: Flic du mail (Paul Blart: Mall Cop)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 2009. Comédie de Steve Carr avec Kevin James, Keir O'Donnell, Jayma Mays.

Le gardien de sécurité obèse d'un centre commercial tente de mettre en échec les malfaiteurs qui ont pris en otage la jeune commerçante dont il est amoureux. Repiquage de vieux gags, dont certains d'un goût douteux. Scénario truffé de clichés et manquant résolument d'ambition. Mise en scène fonctionnelle. Interprétation limitée quoique plutôt enthousiaste. (sortie en salle: 16 janvier 2009)

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Recalé de l'institut de police, Paul Blart est devenu gardien de sécurité dans un centre commercial du New Jersey. Ce quadragénaire divorcé, obèse et hypoglycémique, vit avec sa mère surprotectrice et sa fille de dix ans, qui désespère de lui trouver une petite amie. Bien que maladroit avec les femmes, Paul semble toutefois sur le point de conquérir Abby, une mignonne commerçante, lorsqu'un groupe de cambrioleurs, qui s'est barricadé à l'intérieur du centre commercial, prend la jeune femme en otage, avec quelques autres clients. Les malfaiteurs ignorent toutefois que le gardien de sécurité est encore à l'intérieur des murs, et qu'il est résolu à faire échouer leur plan.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Steve Carr repique de vieux gags sur un canevas encore plus jauni. Le scénario, coécrit par la vedette Kevin James, traite en surface de différence, de tolérance et de dépassement de soi, pour ensuite exploiter le ridicule de son héros adipeux. Pas étonnant, dans le contexte d'une oeuvre aussi désespérément peu ambitieuse, que les ficelles immenses soient apparentes, et les clichés, si abondants. En digne tâcheron, Carr filme le spectacle de façon fonctionnelle, sans art ni inspiration, mais avec une relative compétence technique attestant qu'il a évolué depuis DADDY DAY CARE. Une distribution inégale mais enthousiaste le soutient vaillamment.

Texte : Martin Bilodeau

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