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Parasites (Growth)

É.-U. 2009. Drame d'horreur de Gabriel Cowan avec Mircea Monroe, Christopher Shand, Nora Kirkpatrick. Sur une petite île où des recherches expérimentales en génétique ont été menées, une jeune femme et ses amis sont confrontés à une invasion de parasites mutants. Intrigue bâclée remplie de clichés, de développements prévisibles et d'incohérences. Réalisation à peine fonctionnelle. Effets spéciaux souvent grossiers. Interprétation peu convaincante.

13 ans + (horreur)
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Parasites (Growth)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 2009. Drame d'horreur de Gabriel Cowan avec Mircea Monroe, Christopher Shand, Nora Kirkpatrick.

Sur une petite île où des recherches expérimentales en génétique ont été menées, une jeune femme et ses amis sont confrontés à une invasion de parasites mutants. Intrigue bâclée remplie de clichés, de développements prévisibles et d'incohérences. Réalisation à peine fonctionnelle. Effets spéciaux souvent grossiers. Interprétation peu convaincante.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
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Musique :
Montage :
De 1985 à 1989, des recherches expérimentales en parasitologie et en génétique ont été menées par le professeur Mason Lane sur la petite île de Kuttyhunk. Mais ces expériences échouèrent, entrainant la mort de nombreuses personnes. Vingt plus tard, Jamie Ackerman, la nièce du scientifique, qui a fui les lieux lors des tragiques événements, revient sur l'île avec trois amis afin de vendre la demeure familiale. Or les parasites à la base des expérimentations ont survécu et continuent à faire des ravages. Plus agressifs, ils s'introduisent dans le corps de leurs victimes, provoquant chez elles un changement de personnalité avant de les dévorer de l'intérieur. Justin, un des amis de Jamie, sera le premier à être infecté.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Remplie de clichés, de développements prévisibles et d'incohérences, cette petite production fauchée ne satisfera même pas les amateurs de drames d'horreur. L'intrigue archiconnue ne propose absolument rien de neuf, tandis que les effets spéciaux, trop souvent visibles et grossiers, n'effraieront personne. À la mise en scène, Gabriel Cowan (qui signe ici sa première réalisation solo) tente, tant bien que mal, d'instaurer un climat de terreur (notamment en amplifiant les sons ambiants), mais ses efforts restent vains. En l'absence de montée dramatique et de climax, la fin s'écrase, décevante au possible. Livrés à eux-mêmes, les interprètes meurent dans l'indifférence quasi totale.

Texte : Olivier Lefébure

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