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Pandorum

É.-U. 2009. Science-fiction de Christian Alvart avec Ben Foster, Dennis Quaid, Antje Traue. En 2174, deux astronautes combattent des créatures mutantes à l'intérieur de leur vaisseau en panne, qui devait transporter des milliers d'humains vers une nouvelle planète habitable. Récit intrigant, au dénouement assez prenant. Nombreux emprunts peu subtils aux films du genre. Réalisation tonitruante, parfois confuse. Effets-chocs faciles. Interprétation dans la note. (sortie en salle: 25 septembre 2009)

13 ans + (violence, horreur)
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Pandorum (Pandorum)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 2009. Science-fiction de Christian Alvart avec Ben Foster, Dennis Quaid, Antje Traue.

En 2174, deux astronautes combattent des créatures mutantes à l'intérieur de leur vaisseau en panne, qui devait transporter des milliers d'humains vers une nouvelle planète habitable. Récit intrigant, au dénouement assez prenant. Nombreux emprunts peu subtils aux films du genre. Réalisation tonitruante, parfois confuse. Effets-chocs faciles. Interprétation dans la note. (sortie en salle: 25 septembre 2009)

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Alliance Vivafilm
Émergeant d'un long sommeil artificiel, deux astronautes, le caporal Bower et le lieutenant Peyton, n'ont aucun souvenir de qui ils sont et de l'objet de leur mission. En contact radio avec Peyton, resté au poste de commande, Bower part explorer leur immense vaisseau, en panne et apparemment abandonné par les soixante mille hommes et femmes qui étaient montés à bord pour quitter la Terre menacée de destruction, à destination d'une autre planète habitable. Le caporal tombe bientôt sur quelques survivants hostiles, assiégés par des centaines de mutants monstrueux qui se nourrissent de chair humaine. Faisant équipe avec les survivants amadoués, Bower s'efforce de remettre en marche le réacteur nucléaire du vaisseau, tout en combattant les horribles mutants.

L’AVIS DE MEDIAFILM

La réalisation tonitruante, les effets-chocs faciles, les affrontements violents répétitifs et parfois confus, desservent un récit intrigant, au message écologique valable et au dénouement assez prenant. Reste que le scénario, jamais à cheval sur la vraisemblance, pille sans vergogne de meilleurs films du genre, ALIEN au premier chef, mais également PITCH BLACK (pour les combats dans le noir), SOLARIS (pour l'état de désorientation et de paranoïa des membres de l'équipage) et THE DESCENT (pour la conception des humanoïdes mutants). Quant aux interprètes, ils défendent avec énergie et conviction des personnages quasi unidimensionnels.

Texte : Louis-Paul Rioux

COMMENTAIRES

25 juillet 2019, 00:06:58

Par : Louis-Marie Roy, Saint-Nérée

Je trouve ce film incroyable comme montage et le jeu des acteurs. Aussi avec un budget de seulement 35 millions, pas cher pour le résultat et les effets spéciaux époustouflants.

J'attribue à ce film la Cote 3


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