Go to main content
5

Ninja Assassin

É.-U. 2009. Film d'arts martiaux de James McTeigue avec Rain, Naomie Harris, Ben Miles. Un soldat ninja se rebelle contre les siens et décide de consacrer sa vie à décimer les rangs de cette société secrète de mercenaires. Production sans envergure, aux péripéties dignes d'un jeu vidéo. Scénario dépourvu de ressorts dramatiques. Facture visuelle soignée. Interprétation indifférente. (sortie en salle: 25 novembre 2009)

16 ans + (violence, horreur)
5

Ninja Assassin (Ninja Assassin)

16 ans + (violence, horreur) 16 ans + (violence, horreur)

É.-U. 2009. Film d'arts martiaux de James McTeigue avec Rain, Naomie Harris, Ben Miles.

Un soldat ninja se rebelle contre les siens et décide de consacrer sa vie à décimer les rangs de cette société secrète de mercenaires. Production sans envergure, aux péripéties dignes d'un jeu vidéo. Scénario dépourvu de ressorts dramatiques. Facture visuelle soignée. Interprétation indifférente. (sortie en salle: 25 novembre 2009)

Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
Pays :
Distributeur :
Warner Bros.
Un orphelin formé par une société secrète de mercenaires ninjas se rebelle contre les siens et s'évade à la suite du meurtre par son mentor de la femme qu'il aimait. Sa vie, désormais, est entièrement consacrée à une mission: devancer les ninjas sur les lieux de leurs crimes et décimer leurs rangs au moyen d'armes blanches sophistiquées. C'est ainsi que cet homme solitaire, au corps couvert de cicatrices héritées de sa formation cruelle amorcée dès l'enfance, sauve à Berlin la vie d'une experte en médecine légale d'Europol, qui a découvert l'existence de cette société secrète.

L’AVIS DE MEDIAFILM

James McTeigue (V FOR VENDETTA) rate la cible avec cette production sans envergure, dont le héros, sorte de Jason Bourne des pauvres, est soumis à des épreuves et péripéties dignes d'un jeu vidéo. Outre le sang, qui éclabousse l'écran comme sur une toile de Jackson Pollock, NINJA ASSASSIN n'affiche aucune ambition artistique. Le scénario sans muscle ni ressorts dramatiques enchaîne avec indifférence et monotonie des scènes d'action soignées mais sans âme, où une quantité infinie de «vilains» lâchent l'assaut sur le héros. Il faut dire que la réalisation au neutre, dépourvue de tout sens du suspense, interdit toute forme d'adhésion entre ce dernier et les spectateurs. Les interprètes, aux prises avec des personnages unidimensionnels, s'acquittent sans grande conviction d'une tâche décidément ingrate.

Texte : Martin Bilodeau

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3