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Monstres contre aliens (Monsters vs Aliens)

É.-U. 2009. Film d'animation de Rob Letterman, Conrad Vernon . Devenue géante après avoir reçu une météorite sur la tête, une jeune femme rejoint un groupe de monstres afin de combattre un extra-terrestre voulant détruire la Terre. Scénario conventionnel empruntant aux films de série B des années 1950. Nombreux clins d'oeil amusants. Personnages colorés. Animation fluide. Effets 3D très réussis. (sortie en salle: 27 mars 2009)

Général
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Monstres contre aliens (Monsters vs Aliens)

Général Général

É.-U. 2009. Film d'animation de Rob Letterman, Conrad Vernon .

Devenue géante après avoir reçu une météorite sur la tête, une jeune femme rejoint un groupe de monstres afin de combattre un extra-terrestre voulant détruire la Terre. Scénario conventionnel empruntant aux films de série B des années 1950. Nombreux clins d'oeil amusants. Personnages colorés. Animation fluide. Effets 3D très réussis. (sortie en salle: 27 mars 2009)

Pays :
Distributeur :
Paramount
Le jour de son mariage, Susan Murphy reçoit une météorite sur la tête qui la transforme en géante de vingt mètres de haut. Aussitôt, la jeune femme est conduite par le général Monger dans une prison secrète où elle a pour partenaires de cellule d'autres créatures mutantes: le docteur Cafard, un savant fou; Maillon manquant, un être mi-singe, mi-poisson; le gélatineux B.O.B.; enfin, Insectosaure, une chenille géante. Lorsque l'extraterrestre Gallaxhar menace de détruire la Terre, Monger convainc le président des États-Unis de recourir aux services de Susan, désormais surnommée Génormica, et de ses nouveaux amis.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les bonds de géants faits par le cinéma d'animation des quinze dernières années (de TOY STORY À WALL-E) ont du même souffle fait grimper les exigences et les attentes, tant du point de vue narratif que technologique. À cet égard, et malgré son animation fluide et ses effets 3D très réussis, MONSTERS VS. ALIENS de Rob Letterman et Conrad Vernon, respectivement coréalisateurs de SHARK TALE et de SHREK 2, peine à s'élever au-dessus de la mêlée. Il est vrai que le scénario, qui emprunte abondamment aux films de série B des années 1950 (THE CREATURE FROM THE BLACK LAGOON, THE BLOB, ATTACK OF THE 50 FOOT WOMAN), est conventionnel. Cela dit, l'esthétique joyeusement psychotronique et les amusants clins d'oeil aux classiques de la science-fiction, notamment ceux de George Lucas et de Steven Spielberg, colmatent avec bonheur le texte peu imaginatif pourtant pondu par un bataillon de scénaristes. Enfin, signalons que les personnages colorés sont défendus avec entrain par des acteurs en voix.

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