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Mission des Dieux 2: Jour des saints (The Boondock Saints II: All Saints Day)

É.-U. 2009. Drame de moeurs de Troy Duffy avec Sean Patrick Flanery, Norman Reedus, Billy Connolly. Accusés à tort d'avoir assassiné un prêtre, deux frères appartenant à une caste de tueurs irlandais sortent de leur retraite afin de démasquer le coupable. Scénario d'une ringardise affligeante. Humour foireux. Réalisation limitée. Interprétation primaire. (sortie en salle: 27 novembre 2009)

13 ans + (violence)
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Mission des Dieux 2: Jour des saints (The Boondock Saints II: All Saints Day)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 2009. Drame de moeurs de Troy Duffy avec Sean Patrick Flanery, Norman Reedus, Billy Connolly.

Accusés à tort d'avoir assassiné un prêtre, deux frères appartenant à une caste de tueurs irlandais sortent de leur retraite afin de démasquer le coupable. Scénario d'une ringardise affligeante. Humour foireux. Réalisation limitée. Interprétation primaire. (sortie en salle: 27 novembre 2009)

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Huit années ont passé depuis que Murphy et Connor McManus ont exécuté Papa Joe Yakavetta. Menant à présent une existence paisible de bergers en Irlande auprès de leur père Il Duce, les deux frères sont tirés de leur retraite par l'assassinat d'un prêtre de Boston maquillé de manière à imiter leur signature. Sur le navire qui les emmène aux États-Unis, Connor et Murphy font la connaissance de Romeo, un Mexicain bagarreur qui se fait leur allié. Arrivé en sol américain, le trio remonte la filière mafieuse responsable du meurtre avec l'aide inattendue de l'agent spécial Eunice Bloom, dont les motifs s'avèrent nébuleux. Au fil d'une enquête impliquant différents représentants des forces de l'ordre, il apparaît de plus en plus évident que les ficelles sont tirées en très haut lieu par un fantôme tout droit sorti du passé trouble d'Il Duce.

L’AVIS DE MEDIAFILM

BOONDOCK SAINTS a connu un certain succès culte sur DVD. Ce qui explique que Troy Duffy revienne à la charge, dix ans plus tard, avec cette suite des aventures de la famille McNamus. D'emblée, la stupéfiante ringardise de cette invraisemblable série Z frôle l'affliction. L'humour foireux privilégié, qui carbure essentiellement aux gags homophobes, ajoute au charme. La réalisation limitée de Duffy, qui emprunte ici à Quentin Tarantino, là à Guy Ritchie, atteste de son manque d'imagination et de personnalité. Laissés à eux-mêmes, des interprètes au talent variable offrent un jeu unanimement primaire.

Texte : François Lévesque

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