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Malédiction au Connecticut (The Haunting in Connecticut)

É.-U. 2009. Drame d'horreur de Peter Cornwell avec Virginia Madsen, Kyle Gallner, Martin Donovan. Ayant emménagé dans une demeure ayant jadis servi de salon funéraire, une famille dont l'aîné combat un cancer est en butte à des manifestations surnaturelles. Scénario recyclé basé sur un fait divers. Montée dramatique mal calibrée. Réalisation compétente. Effets spéciaux convaincants mais répétitifs. Interprétation crédible. (sortie en salle: 27 mars 2009)

13 ans + (horreur)
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Malédiction au Connecticut (The Haunting in Connecticut)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 2009. Drame d'horreur de Peter Cornwell avec Virginia Madsen, Kyle Gallner, Martin Donovan.

Ayant emménagé dans une demeure ayant jadis servi de salon funéraire, une famille dont l'aîné combat un cancer est en butte à des manifestations surnaturelles. Scénario recyclé basé sur un fait divers. Montée dramatique mal calibrée. Réalisation compétente. Effets spéciaux convaincants mais répétitifs. Interprétation crédible. (sortie en salle: 27 mars 2009)

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Équinoxe Films
Épuisés et fauchés, Sara et Peter Campbell décident de relocaliser leur famille plus près de l'hôpital où Matt, leur fils adolescent atteint d'un cancer, participe à un traitement expérimental. Dès les premiers jours dans la vieille demeure qu'ils ont louée, ce dernier est victime d'hallucinations effrayantes. Les Campbell apprennent bientôt qu'ils se sont installés dans un ancien salon funéraire dont le propriétaire conduisait des séances de spiritisme. Tandis que le nombre de manifestations va croissant, la santé de Matt décline. Désemparé, l'adolescent prend contact avec le révérend Popescu, traité lui aussi pour un cancer.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Basé sur un fait divers ayant donné lieu à un livre et à un documentaire, THE HAUNTING IN CONNECTICUT s'éloigne considérablement de sa source. De fait, les scénaristes ont emprunté abondamment et sans inspiration aux deux premiers volets d'AMITYVILLE et à THE EXORCIST. Un effort de repiquage plutôt vain, si l'on en juge par le traitement privilégié par Peter Cornwell. D'entrée de jeu, celui-ci bombarde le spectateur d'effets-chocs, privant ainsi le film d'un vrai crescendo dramatique. Compétente au plan technique, sa mise en scène fait généralement bon usage d'un décor évocateur et la photographie forge le climat souhaité. Élément fondamental dans ce genre d'entreprise, les effets spéciaux s'avèrent réussis, quoique répétitifs. Il reste que le principal atout du film réside dans sa talentueuse distribution. Virginia Madsen et Martin Donovan sont convaincants en parents accablés tandis que le jeune Kyle Gallner fait preuve d'une retenue appréciable dans le rôle du fils possédé.

Texte : François Lévesque

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