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La Guerre des Broncos (Gentlemen Broncos)

É.-U. 2009. Comédie de Jared Hess avec Michael Angarano, Jennifer Coolidge, Jemaine Clement. Un adolescent timide, qui rêve d'une carrière d'écrivain de science-fiction, découvre que l'auteur à succès qu'il admire a plagié son roman. Scénario vulgaire et surchargé de références. Humour poussif. Mise en scène d'une ineptie accablante. Interprétation passable. (sortie en salle: 13 novembre 2009)

Général
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La Guerre des Broncos (Gentlemen Broncos)

Général Général

É.-U. 2009. Comédie de Jared Hess avec Michael Angarano, Jennifer Coolidge, Jemaine Clement.

Un adolescent timide, qui rêve d'une carrière d'écrivain de science-fiction, découvre que l'auteur à succès qu'il admire a plagié son roman. Scénario vulgaire et surchargé de références. Humour poussif. Mise en scène d'une ineptie accablante. Interprétation passable. (sortie en salle: 13 novembre 2009)

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Benjamin, fils timide d'une couturière extravagante, rêve d'écrire des romans de science-fiction de la trempe de ceux de son auteur préféré, Ronald Chevalier. Alors qu'il participe à un congrès où celui-ci doit prendre la parole, Benjamin fait la connaissance de Tabatha, une opportuniste accoquinée à Lonnie, un cinéaste amateur à la sexualité ambiguë. Dans la foulée, le jeune homme inscrit à un concours littéraire un roman de sa plume que Chevalier, en panne d'inspiration, lit avec intérêt. Peu de temps après, Benjamin découvre avec stupéfaction que le nouveau livre de son idole ressemble étrangement au sien et que le film qu'en a tiré Lonnie est parfaitement ridicule.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comme dans NAPOLEON DYNAMITE et NACHO LIBRE, les imbéciles et les êtres asociaux font la pluie et le beau temps dans ce nouveau film de Jared Hess. Hélas, le cinéaste à qui on reconnaissait jusqu'ici une certaine originalité, déçoit à tous les niveaux: scénario chargé de références jetées pêle-mêle, humour poussif, manque de profondeur, mise en scène inepte, sans oublier la galerie accablante de figures pathétiques, de laquelle émerge à peine celle du jeune écrivain, incarné avec quelques nuances par Michael Angarano. Empêtrés dans des rôles grotesques et éclairés d'une lumière aussi crue que les situations dans lesquelles ils doivent se débattre, ses partenaires de jeu obtiennent tout juste la note de passage.

Texte : André Lavoie

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