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High Life

É.-U. 2009. Comédie policière de Gary Yates avec Timothy Olyphant, Rossif Sutherland, Stephen McIntyre. En 1983, quatre voyous toxicomanes organisent un vol de guichets automatiques, des appareils qui ont fait récemment leur apparition dans les banques. Récit convenu inspiré d'une pièce de théâtre. Humour au ton outrancier et juvénile. Mise en scène fonctionnelle. Bons interprètes confinés dans des stéréotypes. (sortie en salle: 29 janvier 2010)

13 ans + (violence, langage vulgaire)
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High Life (High Life)

13 ans + (violence, langage vulgaire) 13 ans + (violence, langage vulgaire)

É.-U. 2009. Comédie policière de Gary Yates avec Timothy Olyphant, Rossif Sutherland, Stephen McIntyre.

En 1983, quatre voyous toxicomanes organisent un vol de guichets automatiques, des appareils qui ont fait récemment leur apparition dans les banques. Récit convenu inspiré d'une pièce de théâtre. Humour au ton outrancier et juvénile. Mise en scène fonctionnelle. Bons interprètes confinés dans des stéréotypes. (sortie en salle: 29 janvier 2010)

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Lee MacDougall
D'après la piéce de Lee MacDougall
Photographie :
Musique :
Montage :
En 1983, le groupe Duran Duran fait un malheur et dans les banques, les premiers guichets automatiques font leur apparition. À peine sorti de prison, Bug, un homme au tempérament violent, convainc son copain Dick, un ex-détenu accro à la mescaline, de tenter un coup pour vider quelques machines. Les deux toxicomanes s'allient à Donny, un pickpocket déséquilibré, et Billy, un éternel séducteur, tous deux adeptes de drogues en tous genres. Le plan démarre sans encombres mais lorsque les choses commencent à déraper, Dick insiste pour faire marche arrière. Bug refuse catégoriquement et file avec l'argent, forçant ses complices à se lancer à ses trousses.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après NIAGARA MOTEL, le Canadien Gary Yates renoue avec le polar tarabiscoté façon SEVEN TIMES LUCKY, film qui l'a révélé en 2004. Malheureusement, cette adaptation de la pièce de Lee MacDougall, qui signe également le scénario, relève du sous-Tarantino. Au programme: des personnages excessifs, une certaine glorification de la drogue ainsi que des musiques parfois accrocheuses. Mais cela ne suffit pas à sauver l'entreprise d'un récit convenu, pimenté d'un humour outrancier tirant vers le juvénile. La mise en scène sans éclat - les années 1980 paraissent ici d'une fadeur consommée - n'aide pas la cause du film. Le cinéaste peut toutefois compter sur des acteurs énergiques, qui se donnent à fond dans des rôles stéréotypés de perdants pathétiques.

Texte : André Lavoie

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