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G.I. Joe: Le réveil du Cobra (G.I. Joe: The Rise of Cobra)

É.-U. 2009. Aventures de Stephen Sommers avec Channing Tatum, Marlon Wayans, Sienna Miller. Un commando d'élite international, nommé G.I. Joe, doit empêcher un marchand d'armes machiavélique de réduire en fumée les grandes capitales du monde. Transposition tapageuse d'un dessin animé basé sur des jouets. Récit abracadabrant glorifiant l'intervention armée. Réalisation artificielle au rythme frénétique. Interprètes laissés à eux-mêmes. (sortie en salle: 7 août 2009)

13 ans + (violence)
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G.I. Joe: Le réveil du Cobra (G.I. Joe: The Rise of Cobra)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 2009. Aventures de Stephen Sommers avec Channing Tatum, Marlon Wayans, Sienna Miller.

Un commando d'élite international, nommé G.I. Joe, doit empêcher un marchand d'armes machiavélique de réduire en fumée les grandes capitales du monde. Transposition tapageuse d'un dessin animé basé sur des jouets. Récit abracadabrant glorifiant l'intervention armée. Réalisation artificielle au rythme frénétique. Interprètes laissés à eux-mêmes. (sortie en salle: 7 août 2009)

Un convoi transportant des ogives d'un nouveau genre, capables de dévorer en un instant le métal d'une ville entière, est attaqué par des mercenaires équipés d'armes étranges et redoutables. Les soldats Duke et Ripcord, qui prenaient part au convoi, sont sauvés de justesse par les membres d'une unité internationale secrète dirigée par l'armée américaine sous le nom de code de G.I. Joe. D'abord mis à l'écart, les deux copains finissent par se rendre indispensables grâce aux informations privilégiées qu'ils détiennent. Il appert que le marchand d'armes écossais McCullen, qui a fabriqué les ogives, est à la tête d'une organisation terroriste qui vise le contrôle de la planète. Duke et Ripcord se joignent alors au commando d'élite qui doit arrêter McCullen avant qu'il ne lâche ses missiles sur les grandes capitales du monde.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comme les Transformers, les G.I. Joe étaient à l'origine des jouets Hasbro avant de devenir des personnages de bandes dessinées, de dessins animés, et maintenant de cinéma. Et comme pour les TRANSFORMERS, la production a tout misé sur les effets spéciaux, rien sur le contenu. Aucune vraisemblance ou cohérence dans ce récit abracadabrant et pétaradant qui glorifie l'intervention armée, peu importe les conséquences. Comme par le passé (THE MUMMY, VAN HELSING), le style artificiel de Stephen Sommers repose sur un montage exagérément saccadé et morcelé, qui engendre un rythme frénétique provoquant chez les spectateurs une surcharge de stimuli sensoriels. Cette surenchère d'effets numériques et sonores finit par abrutir les spectateurs et ensevelir les interprètes livrés à eux-mêmes, qui s'enlisent dans des dialogues absurdes.

Texte : André Caron

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