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À quelle heure le train pour nulle part

Can. 2009. Drame de Robin Aubert avec Luis Bertrand, Harumi Watanabe, Queen Harish. À la demande de sa mère, un homme parcourt l'Inde à la recherche de son frère jumeau, un militaire qui aurait mystérieusement disparu dans ce vaste pays. Variation intrigante sur le thème du double. Scénario relâché faisant parfois du surplace. Beauté formelle transcendant un budget très modeste. Jeu hanté de L. Bertrand. (sortie en salle: 18 septembre 2009)

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À quelle heure le train pour nulle part (À quelle heure le train pour nulle part)

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Can. 2009. Drame de Robin Aubert avec Luis Bertrand, Harumi Watanabe, Queen Harish.

À la demande de sa mère, un homme parcourt l'Inde à la recherche de son frère jumeau, un militaire qui aurait mystérieusement disparu dans ce vaste pays. Variation intrigante sur le thème du double. Scénario relâché faisant parfois du surplace. Beauté formelle transcendant un budget très modeste. Jeu hanté de L. Bertrand. (sortie en salle: 18 septembre 2009)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Lynx Films
Producteurs :
À la demande de sa mère, un homme parcourt l'Inde à la recherche de son frère jumeau, un militaire qui aurait mystérieusement disparu dans ce vaste pays. Au cours de son enquête, le voyageur fait la rencontre de diverses personnes, dont une étrange danseuse, un vieux sage et une jeune Japonaise fragile. Hanté par un événement tragique survenu au Québec avant son départ, l'homme vit, au contact de l'Inde, une profonde transformation intérieure qui l'amène à remettre en question sa propre identité.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Quatre ans après SAINT-MARTYR-DES-DAMNÉS, le comédien et cinéaste Robin Aubert aborde à nouveau, dans son deuxième long métrage, le thème de la quête identitaire. Même si le contexte a changé, la charge onirique demeure sensiblement la même, à la différence que À QUELLE HEURE LE TRAIN POUR NULLE PART privilégie une approche plus radicalement impressionniste. Laquelle sied bien à cette intrigante variation sur le thème du double, qui souffre toutefois d'un trop grand relâchement narratif et d'une propension au piétinement. La beauté de la forme, en revanche, transcende un budget minuscule et témoigne d'un vrai sens du cadrage. Le jeu hanté de Luis Bertrand est au diapason de l'ensemble.

Texte : François Lévesque

Revue de presse

La liberté, tout simplement

(...) les images se succèdent à un rythme effréné, (...) des parcelles de dialogues émergent d'un chaos sonore total, (...) des personnages apparaissent dans un éclair, puis disparaissent, tout aussi soudainement. (...) Il n'y a pas à dire, Aubert fait du cinéma foncièrement différent.

À quelle heure le train pour nulle part Robin Aubert

Vive le cinéma libre

Il faut (...) souligner la justesse du regard d’Aubert qui restitue avec acuité les sensations que peut inspirer l’Inde au voyageur. (...) Objet de curiosité, voici un film comme on aimerait en voir plus souvent. Non pas pour sa forme «économique» ou «expérimentale» mais pour la signature pleinement assumée qu’appose Aubert à sa création.

À quelle heure le train pour nulle part Robin Aubert

Aller simple pour l'ailleurs

L'urgence avec laquelle cette oeuvre a été réalisée est à ce point tangible et vibrante qu'elle fait oublier (...) les imperfections techniques qui se retrouvent (...) à l'écran. Si quelques longueurs se glissent (...) à travers l'oeuvre d'Aubert, la puissance évocatrice et symbolique de nombreuses autres scènes arrive à pallier en mode majeur (les) (...) inconsistances narratives.

À quelle heure le train pour nulle part Robin Aubert

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