Go to main content
5

Rien que la vérité (Nothing But the Truth)

É.-U. 2008. Thriller de Rod Lurie avec Kate Beckinsale, Vera Farmiga, Matt Dillon. Après avoir révélé dans un article l'identité d'une agente secrète de la CIA, une reporter refuse de dévoiler sa source au gouvernement, qui lui impose une peine de prison. Plaidoyer appuyé pour la liberté de presse, inspiré de faits vécus. Traitement verbeux et prosaïque. Manque d'envergure filmique. Bonne distribution.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
5

Rien que la vérité (Nothing But the Truth)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 2008. Thriller de Rod Lurie avec Kate Beckinsale, Vera Farmiga, Matt Dillon.

Après avoir révélé dans un article l'identité d'une agente secrète de la CIA, une reporter refuse de dévoiler sa source au gouvernement, qui lui impose une peine de prison. Plaidoyer appuyé pour la liberté de presse, inspiré de faits vécus. Traitement verbeux et prosaïque. Manque d'envergure filmique. Bonne distribution.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Musique :
Montage :
À Washington, la journaliste Rachel Armstrong, mariée et mère d'un garçon, enquête sur une tentative d'assassinat contre le président américain. Dans un article, elle révèle au grand jour l'identité d'une agente secrète de la CIA, épouse d'un ancien ambassadeur des États-Unis au Vénézuela, d'où origine le complot. Mal lui en prend: le gouvernement, piqué au vif, charge un procureur vorace de lui faire avouer le nom de sa source. Rachel, journaliste intègre, refuse catégoriquement d'obéir, ce qui la conduit en prison.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'ex-journaliste devenu cinéaste Rod Lurie (THE LAST CASTLE) poursuit dans NOTHING BUT THE TRUTH son étude des moeurs politiques et éthiques, au coeur de DETERRENCE, THE CONTENDER et de sa télésérie «Commander in Chief». Si l'argumentaire est fort valable, et la source du récit solide (le scénario fictionnalise le combat de la journaliste du New York Times Judith Miller), le plaidoyer pour la liberté de presse est parfois un peu trop appuyé. En outre, le cinéaste privilégie un traitement verbeux et prosaïque, qui manque d'envergure filmique et oblitère le climat politique et social. Kate Beckinsale est cependant très convaincante, au sein d'une distribution épatante et bien dirigée.

Texte : Martin Bilodeau

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3