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Prom Wars

Can. 2008. Comédie de Phil Price avec Ricky Ullman, Alia Shawkat, Rachelle Lefevre. En prévision du bal de fin d'année, les filles d'une école privée soumettent les garçons de deux institutions rivales à une compétition dont elles sont l'enjeu. Fable bien intentionnée mais naïve sur la guerre des sexes et le pouvoir de l'argent. Agaçant mélange d'acuité et de bouffonnerie. Réalisation appliquée. R. Ullman très crédible. (sortie en salle: 9 mai 2008)

Général
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Prom Wars (Prom Wars)

Général Général

Can. 2008. Comédie de Phil Price avec Ricky Ullman, Alia Shawkat, Rachelle Lefevre.

En prévision du bal de fin d'année, les filles d'une école privée soumettent les garçons de deux institutions rivales à une compétition dont elles sont l'enjeu. Fable bien intentionnée mais naïve sur la guerre des sexes et le pouvoir de l'argent. Agaçant mélange d'acuité et de bouffonnerie. Réalisation appliquée. R. Ullman très crédible. (sortie en salle: 9 mai 2008)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Domino Films
Les filles d'un collège privé, Diana à leur tête, lancent un défi à leurs vis-à-vis masculins de deux institutions rivales: les gagnants d'une série d'épreuves athlétiques et académiques pourront accompagner l'étudiante de leur choix au bal des finissants. Percy, l'ex petit-ami de Diana, répugne à se commettre dans cette entreprise dont les motivations réelles lui paraissent plutôt suspectes.

L’AVIS DE MEDIAFILM

D'emblée, PROM WARS tente d'instiller un climat réaliste parsemé de discrètes touches fantaisistes. CHOCOLATE WAR réussissait ce pari avec un budget pareillement modeste. Phil Price n'a malheureusement pas la main aussi heureuse que Keith Gordon. Son film s'embourbe en effet dans des pitreries convenues dès qu'une idée originale semble vouloir éclairer la scène. Sa réalisation est appliquée, sans véritable recherche stylistique. Le scénario propose bien quelques réparties savoureuses et trouvailles cocasses (la séquence de la pièce de théâtre, notamment), mais l'ensemble fleure bon la formule. En voulant éviter les clichés d'usage sur les moeurs adolescentes, le film y succombe dans un final guère inspiré. L'interprétation est généralement bonne mais Ricky Ullman domine aisément par son jeu très crédible.

Texte : François Lévesque

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