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Nos 18 ans

Fr. 2008. Comédie sentimentale de Frédéric Berthe avec Théo Frilet, Valentine Catzéflis, Michel Blanc. Un lycéen cherche à retrouver une belle inconnue rencontrée à une fête, tout en ignorant qu'elle est la fille d'un prof qu'il vient d'insulter. Intrigue rafraîchissante, mais inoffensive. Scénario riche en clichés. Fin prévisible. Bande sonore joyeusement nostalgique. Réalisation fonctionnelle. Interprétation dégagée.

Général
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Nos 18 ans (Nos 18 ans)

Général Général

Fr. 2008. Comédie sentimentale de Frédéric Berthe avec Théo Frilet, Valentine Catzéflis, Michel Blanc.

Un lycéen cherche à retrouver une belle inconnue rencontrée à une fête, tout en ignorant qu'elle est la fille d'un prof qu'il vient d'insulter. Intrigue rafraîchissante, mais inoffensive. Scénario riche en clichés. Fin prévisible. Bande sonore joyeusement nostalgique. Réalisation fonctionnelle. Interprétation dégagée.

Bordeaux, juin 1990. À une fête, Lucas, un lycéen de 18 ans, fait la connaissance de Clémence. C'est le coup de foudre. Malheureusement, ils se quittent sans avoir eu le temps de s'échanger leurs numéros de téléphone. Incapable de l'oublier, le jeune homme cherche à retrouver la belle inconnue. Or celle-ci est la fille de Martineau, le prof de philosophie, que Lucas a insulté le dernier jour de classe. Comble de malchance, l'enseignant est affecté aux oraux de rattrapage pour les élèves en difficulté. Lucas étant nul en philo, la confrontation est inévitable...

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avec humour et un brin de nostalgie, Frédéric Berthe revisite ses années de lycée et plus spécifiquement, la période cruciale du passage des examens avant l'entrée à l'université. Malgré son scénario convenu riche en clichés, cette gentille comédie sentimentale s'avère au début rafraîchissante, car sans prétention. Malheureusement, le réalisateur n'arrive pas à maintenir ce ton de légèreté et le film s'enfonce peu à peu dans la mièvrerie, jusqu'à une fin des plus prévisibles. La mise en scène, purement fonctionnelle, est anonyme. En revanche, la bande sonore remet agréablement en mémoire divers tubes de l'époque. Face au solide Michel Blanc qui incarne un intraitable prof de philo, le jeune Théo Frilet fait bonne figure.

Texte : Olivier Lefébure

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