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Les Ruines (The Ruins)

É.-U. 2008. Drame d'horreur de Carter Smith avec Jonathan Tucker, Jena Malone, Shawn Ashmore. S'étant aventurés dans la jungle mexicaine à la recherche d'un voyageur disparu, de jeunes vacanciers découvrent de mystérieuses ruines. Décors exotiques prétextes à une intrigue banale. Réalisation compétente. Photographie recherchée. Interprétation honnête. (sortie en salle: 4 avril 2008)

13 ans + (horreur)
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Les Ruines (The Ruins)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 2008. Drame d'horreur de Carter Smith avec Jonathan Tucker, Jena Malone, Shawn Ashmore.

S'étant aventurés dans la jungle mexicaine à la recherche d'un voyageur disparu, de jeunes vacanciers découvrent de mystérieuses ruines. Décors exotiques prétextes à une intrigue banale. Réalisation compétente. Photographie recherchée. Interprétation honnête. (sortie en salle: 4 avril 2008)

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En vacances à Cancun, les Américains Jeff, Eric, Amy et Stacy acceptent d'aider un Allemand, Mathias, à retrouver son frère. Leur route, au coeur de la jungle, les conduit d'abord dans un petit village où ils sont mal reçus par les habitants. Ignorant leurs mises en gardes, ils s'enfoncent davantage dans la végétation dense et découvrent les ruines d'un temple maya. Attaqués par des villageois qui refusent de leur céder le chemin, ils descendent au coeur de la pyramide où quelque chose se tapit dans les ténèbres opaques. Un par un, les voyageurs seront traqués par une mystérieuse force surnaturelle...

L’AVIS DE MEDIAFILM

On présume qu'en adaptant son propre roman, Scott B. Smith y sera demeuré fidèle. Chose certaine, son scénario ne brille pas par son originalité. Avant même la sortie du film, on décrivait THE RUINS comme un TURISTAS mâtiné de THE DESCENT. En le voyant, on constate que la liste des emprunts ne s'arrête pas là, le film rappelant notamment le SHIVERS de Cronenberg, les dimensions satiriques et métaphoriques en moins. À la barre de son premier long métrage, Carter Smith ne fait preuve d'aucune maîtrise particulière. Sa réalisation est compétente, en ce sens qu'elle fournit les sursauts escomptés et se conforme aux conventions du genre. Mais c'est justement ce côté sage, voire anonyme, qui rend le film aussi ordinaire. La véritable vedette est la direction photo de Darius Khondji (DÉLICATESSEN, SEVEN, IN DREAMS), encore une fois superbe. Les comédiens offrent d'honnêtes interprétations de personnages peu mémorables.

Texte : François Lévesque

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