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Le Retour de Roscoe Jenkins (Welcome Home Roscoe Jenkins)

Jeudi 16 Mai à 23:00 | TBS

É.-U. 2008. Comédie de Malcolm D. Lee avec Martin Lawrence, Joy Bryant, James Earl Jones. Un animateur vedette en froid avec son père revient auprès des siens à l'occasion du cinquantième anniversaire de mariage de ses parents. Charge convenue sur la primauté des valeurs familiales. Valeur humoristique très inégale. Réalisation anonyme. Interprétation enthousiaste. (sortie en salle: 8 février 2008)

13 ans + (langage vulgaire)
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Le Retour de Roscoe Jenkins (Welcome Home Roscoe Jenkins)

13 ans + (langage vulgaire) 13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 2008. Comédie de Malcolm D. Lee avec Martin Lawrence, Joy Bryant, James Earl Jones.

Un animateur vedette en froid avec son père revient auprès des siens à l'occasion du cinquantième anniversaire de mariage de ses parents. Charge convenue sur la primauté des valeurs familiales. Valeur humoristique très inégale. Réalisation anonyme. Interprétation enthousiaste. (sortie en salle: 8 février 2008)

Populaire animateur de télévision récemment fiancé à Bianca, une championne d'une émission de téléréalité, le Docteur Stevens, Roscoe Jenkins Junior de son vrai nom, incarne l'image de la réussite. Flanqué de son jeune fils, de Bianca et du chien de cette dernière, Roscoe débarque à contrecoeur dans sa petite ville natale de Georgie à l'occasion du cinquantième anniversaire de mariage de ses parents. Les célébrations seront pour lui l'occasion de renouer avec les siens qu'il n'a pas revus depuis neuf ans, de se réconcilier avec son père, avec qui il est en froid, de réveiller un amour de jeunesse, enfin de composer avec une fiancée pour qui la compétition est un mode de vie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les valeurs traditionnelles, la simplicité, la primauté de la famille, tels sont les thèmes majeurs de WELCOME HOME ROSCOE JENKINS, farce éminemment prévisible qui dresse au passage un portrait social pour le moins simpliste. À la barre de l'entreprise, Malcolm D. Lee (THE BEST MAN, ROLL BOUNCE) remporte la palme de l'insignifiance, tant pour sa réalisation anonyme que pour son scénario niais. Si certains gags font mouche, la majorité d'entre eux sont éventés avant l'impact. Avant tout, on se désole devant le refus manifeste des auteurs de renouveler un genre qui table sur des formules éprouvées et des clichés. Seule barrière à une débâcle complète: la distribution enthousiaste, qui arrive parfois à faire oublier la banalité de l'affaire. On retiendra ainsi les frasques de Mo'Nique, énergique à défaut d'être subtile, de même que la présence toujours bienvenue de l'impérieux James Earl Jones et ce, bien qu'on aurait souhaité ne pas le voir se commettre dans pareille bouillie.

Texte : François Lévesque

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