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Le Conte de Despereaux (The Tale of Despereaux)

É.-U. 2008. Film d'animation de Sam Fell, Robert Stevenhagen . Une souris vient en aide à une princesse enfermée par son père à la suite de la mort accidentelle de sa mère, provoquée par un rat. Récit inspiré de l'imagerie médiévale, peuplé de personnages fort attachants. Scénario parfois confus et laborieux. Animation de bon calibre. (sortie en salle: 19 décembre 2008)

Général
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Le Conte de Despereaux (The Tale of Despereaux)

Général Général

É.-U. 2008. Film d'animation de Sam Fell, Robert Stevenhagen .

Une souris vient en aide à une princesse enfermée par son père à la suite de la mort accidentelle de sa mère, provoquée par un rat. Récit inspiré de l'imagerie médiévale, peuplé de personnages fort attachants. Scénario parfois confus et laborieux. Animation de bon calibre. (sortie en salle: 19 décembre 2008)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Gary Ross
D'après le roman de Kate DiCamillo
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Universal
Banni pour avoir accidentellement provoqué la mort de la reine, le rat Roscuro retourne parmi les siens, dans les profondeurs du donjon. Au même moment, Despereaux, une souris vive d'esprit, lancée à la découverte du monde des humains, entre en contact avec la Princesse, inconsolable depuis la mort de sa mère, et retenue prisonnière par son père le roi. Ayant poussé la curiosité un peu trop loin, Despereaux est livrée aux rats. Mais l'animal est sauvé in extremis par Roscuro, lui aussi fasciné par les humains. Avec la complicité de Mig, une servante de la Princesse, les deux rongeurs tentent de délivrer cette dernière.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après FLUSHED AWAY, le réalisateur Sam Fell, assisté de Robert Stevenhagen, poursuit son exploration du monde grouillant des rongeurs. Inspiré par l'imagerie médiévale, il a peuplé son film de têtes couronnées et de châteaux imposants. Fertile en personnages attachants, le récit aux enjeux dramatiques parfois confus apparaît un peu trop chargé. Ce qui risque fort de modérer l'enthousiasme des jeunes spectateurs, quoique la qualité de l'animation numérique a des chances de les gagner au détour. En effet, les auteurs multiplient les scènes de foules et de combats, dont certaines évoquent avec humour l'atmosphère fiévreuse des arènes de la Rome antique. À ces évocations historiques juxtaposant diverses époques s'ajoutent de savoureuses références picturales, dont la plus flamboyante au peintre italien Giuseppe Arcimboldo.

Texte : André Lavoie

Revue de presse

Un Royaume aux abois

Dans un évident souci d'en mettre plein la vue, Fell et son complice (...) n'ont pas cherché à contenir l'enthousiasme des scénaristes, décorant le récit de personnages colorés mais parfois inutiles. Les enjeux sont dilués dans une foule d'intrigues secondaires. (...) La virtuosité technique de cette fantaisie médiévale est (cependant) indéniable.

Conte de Despereaux, Le Sam Fell, Robert Stevenhagen

Souris, tu m'inquiètes!

(...) le livre de Kate DiCamillio est un conte exemplaire dans sa forme et dans son fond. (...) Il était légitime d’en espérer autant du film de Sam Fell et Rob Stevenberg. Ce n’est malheureusement pas le cas. Les péripéties sont là, mais l’âme a été dissoute.

Conte de Despereaux, Le Sam Fell, Robert Stevenhagen

Ennuyeux au possible

(...) les décors sont jolis, la courageuse petite souris (...), très mignonne, mais l'animation manque cruellement de fluidité. Et que dire des personnages humains (...)? Presque aussi peu séduisants que le hideux rat Roscuro (...)! Quant au scénario (...), il se révèle une laborieuse et assommante adaptation du best-seller de Kate DiCamillo.

Conte de Despereaux, Le Sam Fell, Robert Stevenhagen

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