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Le Cauchemar de Molly Hartley (The Haunting of Molly Hartley)

É.-U. 2008. Thriller de Mickey Lidell avec Haley Bennett, Jake Weber, Chace Crawford. La nouvelle élève d'une école catholique est tourmentée par le souvenir de sa mère, internée dans un institut psychiatrique. Intrigue niaise reprenant à son compte tous les clichés du genre. Dialogues risibles. Réalisation de facture télévisuelle. Interprétation fort inégale. (sortie en salle: 31 octobre 2008)

13 ans +
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Le Cauchemar de Molly Hartley (The Haunting of Molly Hartley)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 2008. Thriller de Mickey Lidell avec Haley Bennett, Jake Weber, Chace Crawford.

La nouvelle élève d'une école catholique est tourmentée par le souvenir de sa mère, internée dans un institut psychiatrique. Intrigue niaise reprenant à son compte tous les clichés du genre. Dialogues risibles. Réalisation de facture télévisuelle. Interprétation fort inégale. (sortie en salle: 31 octobre 2008)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
En franchissant le seuil de sa nouvelle école de Boston, où elle a été admise en dernière année du secondaire, Molly Hartley espère oublier que sa mère, maintenant internée dans un institut psychiatrique, a tenté de la tuer. Les premiers jours coulent paisiblement et la jeune élève fait la connaissance d'un garçon populaire qui en pince pour elle. Mais le mauvais sort dont elle semble frappée refait surface, sous forme d'hallucinations funestes, lesquelles pourraient cependant expliquer le mystère entourant l'attaque de Molly par sa mère. À mesure qu'approche son dix-huitième anniversaire, la jeune fille commence à se méfier de son nouvel environnement, fortement marqué par le catholicisme.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Premier long métrage de Mickey Liddell, THE HAUNTING OF MOLLY HARTLEY semble tout droit sorti des années 1970-80 avec son intrigue invraisemblable et conventionnelle dont la clé réside dans les cauchemars de l'héroïne. Malgré une enveloppe léchée digne d'un épisode de «Gossip Girl», le film n'est rien d'autre qu'une resucée stérile de HAPPY BIRTHDAY TO ME et autres SWEET SIXTEEN, le satanisme en plus, le gore en moins. De fait, le scénario se contente d'accumuler les développements de circonstance sur le chemin d'un dénouement ridicule. Guère plus inspiré, l'éventail des personnages va de l'héroïne virginale à la vilaine de service, en passant par le beau gosse trop lisse et la rebelle tourmentée. Les jeunes acteurs défendent ces stéréotypes avec une économie de talent certaine. La réalisation de Liddell (producteur exécutif de la série «Everwood») trahit en outre une sensibilité plus télévisuelle que cinématographique.

Texte : François Lévesque

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