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Le Bal de l'horreur (Prom Night)

É.-U. 2008. Thriller de Nelson McCormick avec Brittany Snow, Scott Porter, Jessica Stroup. Au cours d'un bal de finissants très huppé, un psychopathe obsédé par une étudiante s'attaque aux amis de cette dernière. Remake fastueux d'un modeste film d'horreur de 1980. Suspense inutilement étiré. Réalisation mécanique. Interprétation artificielle. (sortie en salle: 11 avril 2008)

13 ans + (violence)
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Le Bal de l'horreur (Prom Night)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 2008. Thriller de Nelson McCormick avec Brittany Snow, Scott Porter, Jessica Stroup.

Au cours d'un bal de finissants très huppé, un psychopathe obsédé par une étudiante s'attaque aux amis de cette dernière. Remake fastueux d'un modeste film d'horreur de 1980. Suspense inutilement étiré. Réalisation mécanique. Interprétation artificielle. (sortie en salle: 11 avril 2008)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Trois ans après qu'un enseignant fou et obsessionnel eut massacré les membres de sa famille, Donna Keppel est toujours la proie d'horribles cauchemars. Mais aujourd'hui, entourée de ses meilleurs amis et encouragée par son oncle et sa tante, Donna se rend au bal des finissants très huppé de son école, pour les besoins duquel ont été réservés la luxueuse salle de réception et plusieurs chambres d'un grand hôtel de la ville. Or, le psychopathe, qui s'est évadé de prison trois jours plus tôt, rôde déjà dans les couloirs de l'hôtel à la recherche de Donna. Un à un, les amis de l'adolescente tombent sous ses coups.

L’AVIS DE MEDIAFILM

En tentant d'éviter les clichés du genre, d'édulcorer la violence sanglante de l'original et d'humaniser quelque peu le tueur, Nelson McCormick a livré un remake ennuyeux et insignifiant du modeste PROM NIGHT datant de 1980. Le suspense, plus proche du thriller que de l'horreur pure, est inutilement dilué dans une intrigue de boudoir. Celle-ci fait d'ailleurs penser à une «sitcom» américaine, avec ces portes qui s'ouvrent et se ferment sur les personnages, jusqu'à ce que le tueur lobotomisé mette fin au manège en les éliminant l'un après l'autre dans des scènes lassantes réalisées mécaniquement, sans effort d'imagination. Par ailleurs, la production étale un faste démesuré pour ce genre de récit, comme si l'on voulait compenser par le luxe le manque d'invention et la fadeur de l'entreprise. Confrontés à des personnages sans relief, les interprètes manquent de naturel.

Texte : André Caron

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