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La Morte-vivante (Deadgirl)

É.-U. 2008. Drame d'horreur de Marcel Sarmiento, Gadi Harel avec Shiloh Fernandez, Noah Segan, Candice Accola. Dans un hôpital psychiatrique abandonné, deux adolescents marginaux découvrent une jeune femme, nue et attachée, qu'ils décident de garder prisonnière. Mélange raté de drame d'horreur et de critique sociale. Intrigue incohérente farcie d'invraisemblances. Réalisation frisant l'amateurisme. Photographie souvent laide. Effets spéciaux inefficaces. Interprétation quelconque.

18 ans + (violence, langage vulgaire)
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La Morte-vivante (Deadgirl)

18 ans + (violence, langage vulgaire) 18 ans + (violence, langage vulgaire)

É.-U. 2008. Drame d'horreur de Marcel Sarmiento, Gadi Harel avec Shiloh Fernandez, Noah Segan, Candice Accola.

Dans un hôpital psychiatrique abandonné, deux adolescents marginaux découvrent une jeune femme, nue et attachée, qu'ils décident de garder prisonnière. Mélange raté de drame d'horreur et de critique sociale. Intrigue incohérente farcie d'invraisemblances. Réalisation frisant l'amateurisme. Photographie souvent laide. Effets spéciaux inefficaces. Interprétation quelconque.

Alors qu'ils font l'école buissonnière, J.T. et Rickie, deux adolescents marginaux, découvrent dans un hôpital psychiatrique abandonné une jeune femme nue et attachée sur une table. Contrairement à Rickie qui veut la libérer, J.T. décide plutôt de la garder prisonnière afin d'en faire son esclave sexuelle. Les deux amis se disputent et écoeuré, le bon samaritain rentre chez lui. Le lendemain, J.T. fait une révélation surprenante à son camarade de classe: il est impossible de tuer la belle inconnue.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Tournée caméra à l'épaule, cette production fauchée propose un mélange indigeste de drame d'horreur et de critique sociale. L'intrigue, incohérente, est bourrée de clichés et d'invraisemblances et multiplie les développements qui ne mènent nulle part. Ainsi, le mystère entourant la victime (est-elle, oui ou non, une morte-vivante?) n'est ni exploité, ni éclairci. Racoleuse, la réalisation frise l'amateurisme et la photographie, par moments très sombre, est souvent d'une grande laideur. Quant aux effets spéciaux, ils s'avèrent aussi rares que risibles et inefficaces. Aux prises avec des personnages profondément antipathiques et des dialogues d'une rare bêtise, les interprètes livrent des prestations plus que quelconques.

Texte : Olivier Lefébure

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