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La Cadillac de Dolan (Dolan's Cadillac)

G.-B. 2008. Thriller de Jeff Beesley avec Wes Bentley, Christian Slater, Emmanuelle Vaugier. À Las Vegas, un enseignant cherche à se venger du truand qui a fait exécuter son épouse. Adaptation peu palpitante d'une nouvelle de Stephen King. Intrigue anémique aux nombreuses invraisemblances. Tension dramatique quasi inexistante. Réalisation affectée. Interprétation inégale.

13 ans +
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La Cadillac de Dolan (Dolan's Cadillac)

13 ans + 13 ans +

G.-B. 2008. Thriller de Jeff Beesley avec Wes Bentley, Christian Slater, Emmanuelle Vaugier.

À Las Vegas, un enseignant cherche à se venger du truand qui a fait exécuter son épouse. Adaptation peu palpitante d'une nouvelle de Stephen King. Intrigue anémique aux nombreuses invraisemblances. Tension dramatique quasi inexistante. Réalisation affectée. Interprétation inégale.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Richard Dooling
D'après le roman de Stephen King
Photographie :
Musique :
Montage :
Un jour qu'elle fait du cheval à l'extérieur de Las Vegas, Elizabeth est témoin du meurtre d'une immigrée clandestine par le mafieux James Dolan. Réussissant à retrouver la trace de la jeune enseignante, le truand cherche à l'intimider puis, constatant que la police l'a mise sous protection, la fait exécuter par ses hommes de main. Assoiffé de vengeance, Robinson, le mari d'Elizabeth, décide de se substituer à la justice. Patiemment, il étudie les allers et venues de Dolan afin de lui tendre un guet-apens. Après une première tentative ratée à la sortie d'un casino, Robinson planifie un nouveau traquenard, sur une route désertique qui relie Las Vegas à Los Angeles.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les romans et nouvelles de Stephen King ont fait l'objet de nombreuses adaptations au cinéma. Le résultat est parfois excellent (CARRIE, SHINING, STAND BY ME), souvent moyen (FIRESTARTER, THE MANGLER) et parfois ridicule (THE RUNNING MAN, THINNER). DOLAN'S CADILLAC appartient hélas à cette troisième catégorie. L'intrigue anémique cumule les invraisemblances et la réalisation de Jeff Beesley, souvent affectée, échoue à créer une quelconque tension dramatique. Le recours à une voix off sentencieuse et à une musique peu subtile n'aide en rien la cause de cette série B poussive. Face à un Christian Slater qui semble s'amuser, Wes Bentley (P2) affiche d'un bout à l'autre du film la même expression figée.

Texte : Olivier Lefébure

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