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La Bunny du campus (The House Bunny)

É.-U. 2008. Comédie de Fred Wolf avec Anna Faris, Colin Hanks, Emma Stone. Expulsée du manoir Playboy, une mannequin naïve devient la protectrice des membres d'une sororité étudiante en difficulté. Production calamiteuse et sans imagination. Scénario emprunté, aux bons gags rares. Réalisation approximative. A. Faris rafraîchissante. (sortie en salle: 22 août 2008)

Général
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La Bunny du campus (The House Bunny)

Général Général

É.-U. 2008. Comédie de Fred Wolf avec Anna Faris, Colin Hanks, Emma Stone.

Expulsée du manoir Playboy, une mannequin naïve devient la protectrice des membres d'une sororité étudiante en difficulté. Production calamiteuse et sans imagination. Scénario emprunté, aux bons gags rares. Réalisation approximative. A. Faris rafraîchissante. (sortie en salle: 22 août 2008)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Columbia
Mise à la porte du manoir Playboy par les soins d'une rivale, Shelley Darlingson, Bunny de vingt-sept ans, débarque sur un campus universitaire et, par un étrange concours de circonstances, parvient à s'imposer comme protectrice auprès d'une sororité étudiante menacée d'expulsion. D'abord hostiles à cette jolie femme qui exhibe fièrement ses attributs, les sept étudiantes timides et mal dégrossies la prennent bientôt pour modèle. Shelley leur prodigue trucs-beauté et conseils pour séduire les garçons. Au fil des jours toutefois, c'est elle qui, au contact de ces jeunes marginales, et d'un travailleur social, subit la plus grande transformation.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Trois ou quatre bons gags. Et puis la fraîcheur d'Anna Faris (SCARY MOVIE, LOST IN TRANSLATION). Ce sont là les seuls éléments récupérables de cette comédie calamiteuse qui a giclé de la plume peu inspirée des auteures de LEGALLY BLONDE. De fait, il s'agit d'un copier-coller du scénario de ce dernier, sur le motif usé du «poisson hors de l'eau», qui se vautre dans les archétypes et se gargarise de tous les clichés moralisateurs, notamment sur la beauté intérieure que l'héroïne - visiblement inspirée de le Goldie Hawn de PRIVATE BENJAMIN - découvre sur la voie de la croissance personnelle. La mise en scène approximative et le montage maladroit finissent de rabaisser THE HOUSE BUNNY au degré zéro de l'audace et de l'originalité.

Texte : Martin Bilodeau

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