Jack Brooks - Monster Slayer

Name: Jack Brooks - Monster Slayer
Director: Jon Knautz
Genre: Drame d'horreur
Duration: 85 min.

Can. 2008. Drame d'horreur de Jon Knautz avec Trevor Matthews, Robert Englund, Rachel Skarsten. Alors qu'il fait face à ses démons intérieurs, un plombier est amené à confronter des monstres bien réels libérés par une force maléfique. Film de genre bien fait malgré un budget modeste. Quelques longueurs. Maquillages et effets spéciaux réussis. Performance formidablement grotesque de R. Englund. (sortie en salle: 25 juillet 2008)

Jack Brooks - Monster Slayer (Jack Brooks - Monster Slayer)

13 ans + (violence, horreur)

Can. 2008. Drame d'horreur de Jon Knautz avec Trevor Matthews, Robert Englund, Rachel Skarsten.

Alors qu'il fait face à ses démons intérieurs, un plombier est amené à confronter des monstres bien réels libérés par une force maléfique. Film de genre bien fait malgré un budget modeste. Quelques longueurs. Maquillages et effets spéciaux réussis. Performance formidablement grotesque de R. Englund. (sortie en salle: 25 juillet 2008)

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Genre :

Drame d'horreur

Année :

2008

Durée :

85 min.

Réalisation :

Jon Knautz

Pays :

Canada

Distributeur :

Suzanne Villeneuve - Boom Vidéo

Interprètes :

Trevor Matthews
Robert Englund
Rachel Skarsten

site officiel

Le plombier Jack Brooks doit remédier à un sérieux problème de contrôle de soi. Lequel problème remonte au massacre de sa famille par des monstres, survenu devant ses yeux alors qu'il était enfant. Un ami ayant libéré par mégarde une force maléfique, Brooks est maintenant obligé d'affronter les monstres qui surgissent, en même temps que faire face à ses démons intérieurs.

L’AVIS DE MEDIAFILM

JACK BROOKS - MONSTER SLAYER n'est pas sans rappeler les opus d'horreur «splatstick» de Sam Raimi (THE EVIL DEAD 1 et 2) et de Peter Jackson (BAD TASTE, BRAINDEAD). Quelques longueurs alourdissent le récit, mais le dernier tiers est horrifiant à souhait et, dans le rôle du professeur possédé par une force maléfique, Robert Englund (qui campait Freddy Krueger dans la série des NIGHTMARE ON ELM STREET) offre une performance formidablement grotesque. Les maquillages et effets spéciaux sont par ailleurs très réussis, ce qui n'est pas négligeable considérant le budget modeste de cette production canadienne.

Texte : Kevin Laforest

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