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Dorothy Mills (Dorothy)

Irl. 2008. Drame de Agnès Merlet avec Carice van Houten, Jenn Murray, Gary Lewis. Sur une petite île irlandaise, une psychiatre interroge une adolescente aux multiples personnalités accusée d'avoir maltraité un nourrisson. Scénario convenu flirtant de façon peu convaincante avec le fantastique. Climat d'étrangeté bien rendu. Dénouement décevant. Mise en scène efficace et inventive. Interprétation saisissante de J. Murray.

13 ans +
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Dorothy Mills (Dorothy)

13 ans + 13 ans +

Irl. 2008. Drame de Agnès Merlet avec Carice van Houten, Jenn Murray, Gary Lewis.

Sur une petite île irlandaise, une psychiatre interroge une adolescente aux multiples personnalités accusée d'avoir maltraité un nourrisson. Scénario convenu flirtant de façon peu convaincante avec le fantastique. Climat d'étrangeté bien rendu. Dénouement décevant. Mise en scène efficace et inventive. Interprétation saisissante de J. Murray.

Genre :
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La psychiatre irlandaise Jane Morton se rend sur une petite île pour interroger l'adolescente Dorothy Mills, accusée d'avoir maltraité un nourrisson. Dès son arrivée, la spécialiste est confrontée à l'hostilité de cette petite communauté très croyante qui voit d'un mauvais oeil la présence de cette étrangère. Malgré cela, Jane débute ses séances avec la jeune Dorothy et diagnostique rapidement un trouble de la personnalité multiple. Erreur. En vérité, la jeune fille est possédée par l'esprit de trois adolescents morts dix ans plus tôt dans un tragique accident de la route.

L’AVIS DE MEDIAFILM

D'ordre psycho-judiciaire en entrée de jeu, l'intrigue de DOROTHY vire peu à peu au fantastique. Or, la manoeuvre est loin d'être convaincante. En effet, lorsqu'on apprend que la jeune fille schizophrène aux multiples personnalités est possédée par l'esprit de trois adolescents morts, l'histoire perd toute logique. Au lieu de s'éclairer à la lumière de cette nouvelle information, certaines scènes du film deviennent carrément incompréhensibles. Ce glissement de genre est d'autant plus regrettable qu'Agnès Merlet (ARTEMISIA) réussit dans le premier tiers de son film à forger un climat oppressant, grâce à une mise en scène fluide aux astucieux éléments insolites. En outre, la nouvelle venue Jenn Murray compose une saisissante jeune malade aux portes de la folie.

Texte : Olivier Lefébure

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