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Choke

É.-U. 2008. Comédie dramatique de Clark Gregg avec Sam Rockwell, Anjelica Huston, Kelly Macdonald. À la suite d'une troublante révélation de sa mère, internée dans un hôpital psychiatrique, un trentenaire accro au sexe entreprend de mettre de l'ordre dans sa vie. Adaptation inégale du roman de Chuck Palahniuk. Construction dramatique laborieuse. Réalisation fonctionnelle. Excellent S. Rockwell. (sortie en salle: 26 septembre 2008)

16 ans + (érotisme, langage vulgaire)
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Choke (Choke)

16 ans + (érotisme, langage vulgaire) 16 ans + (érotisme, langage vulgaire)

É.-U. 2008. Comédie dramatique de Clark Gregg avec Sam Rockwell, Anjelica Huston, Kelly Macdonald.

À la suite d'une troublante révélation de sa mère, internée dans un hôpital psychiatrique, un trentenaire accro au sexe entreprend de mettre de l'ordre dans sa vie. Adaptation inégale du roman de Chuck Palahniuk. Construction dramatique laborieuse. Réalisation fonctionnelle. Excellent S. Rockwell. (sortie en salle: 26 septembre 2008)

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Distributeur :
20th Century Fox
Victor partage son temps entre un emploi peu épanouissant de figurant dans un village d'antan pour touristes, l'hôpital psychiatrique où sa mère est internée et les rencontres de soutien pour accros du sexe auxquelles il assiste pour faire des conquêtes faciles. À la mi-trentaine, il se fait un point d'honneur de ne cultiver aucune relation personnelle autre que celle qu'il entretient avec son meilleur ami Denny. Mais tout change lorsque sa mère, qui méprend constamment son fils pour son avocat, lui déclare qu'elle a menti sur son passé. Avec le concours inattendu d'une charmante femme médecin, Victor entreprend de mettre de l'ordre dans sa vie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Adapté d'un roman de Chuck Palahniuk (FIGHT CLUB), CHOKE est le premier long métrage du comédien Clark Gregg, qui signe également le scénario du film en plus d'y tenir un rôle de soutien. Si on reconnaît d'emblée le ton subversif cher à Palahniuk, force est d'admettre que cette comédie déjantée perd malheureusement de son mordant à mesure que progresse un récit dont la construction dramatique laisse souvent à désirer. On regrettera, par exemple, la maladresse avec laquelle sont insérés les flashbacks ainsi que ce virage quelque peu sentimental, vers la fin, qui détonne. En outre, la réalisation, purement fonctionnelle, n'est pas particulièrement stimulante. Dans le contexte, les talentueux interprètes font de leur mieux, à commencer par Sam Rockwell (CONFESSIONS OF A DANGEROUS MIND, SNOW ANGELS), encore une fois nuancé et crédible dans un rôle singulier.

Texte : François Lévesque

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