Go to main content
5

Black

Fr. 2008. Thriller de Pierre Laffargue avec MC Jean Gab'1, Carole Karemera, François Levantal. Un braqueur parisien d'origine sénégalaise part rejoindre à Dakar un cousin avec qui il projette de voler un lot de diamants bruts. Intrigue ludique et bédéesque. Scénario se souciant peu de vraisemblance. Réalisation dynamique. Décor exotique bien exploité. Interprétation caricaturale. (sortie en salle: 31 juillet 2009)

13 ans +
5

Black (Black)

13 ans + 13 ans +

Fr. 2008. Thriller de Pierre Laffargue avec MC Jean Gab'1, Carole Karemera, François Levantal.

Un braqueur parisien d'origine sénégalaise part rejoindre à Dakar un cousin avec qui il projette de voler un lot de diamants bruts. Intrigue ludique et bédéesque. Scénario se souciant peu de vraisemblance. Réalisation dynamique. Décor exotique bien exploité. Interprétation caricaturale. (sortie en salle: 31 juillet 2009)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
Montage :
Le lendemain d'un vol de fourgon qui a mal tourné, Black, un braqueur parisien d'origine sénégalaise, reçoit l'appel d'un cousin de Dakar qui lui propose de venir le rejoindre pour orchestrer avec lui un coup fumant: dérober de la voûte d'une banque un lot de diamants bruts appartenant à un politicien. En apparence simple, l'affaire se complique lorsqu'un vendeur d'armes, Degrand, ainsi que des miliciens russes menés par le sadique Ouliakov, ont vent de l'existence des pierres précieuses. Coincé par Pamela, une séduisante agente d'Interpol, Black finit par faire équipe avec elle dans le but d'éliminer Degrand qui, avec l'aide d'une sorcière, a entamé sa transformation en serpent.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Se souciant très peu de vraisemblance, BLACK repose sur une intrigue ludique aux forts accents de parodie. On dénote un esprit de bande dessinée dans la structure et le ton du récit qui, s'il est dans l'ensemble sympathique, ne s'avère jamais convaincant. Issu de la télévision, Pierre Laffargue signe une réalisation dynamique et exploite avec intelligence le décor sénégalais. La direction photo colorée et la musique bien choisie sont également dignes de mention. En revanche, l'interprétation demeure caricaturale, surtout au sein des seconds rôles. Peut-être était-ce voulu, mais l'effet n'en est pas moins discordant.

Texte : François Lévesque

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3