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P.S. Je t'aime (P.S. I Love You)

É.-U. 2007. Drame sentimental de Richard LaGravenese avec Hilary Swank, Gerard Butler, Kathy Bates. Une jeune New-Yorkaise reçoit de son mari récemment décédé des lettres lui indiquant la marche à suivre pour passer à travers son deuil. Adaptation pesante et puérile du roman de Cecilia Ahern. Panoplie de situations artificielles. Réalisation compétente mais sans envergure. Chimie inopérante entre les deux vedettes. (sortie en salle: 21 décembre 2007)

Général
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P.S. Je t'aime (P.S. I Love You)

Général Général

É.-U. 2007. Drame sentimental de Richard LaGravenese avec Hilary Swank, Gerard Butler, Kathy Bates.

Une jeune New-Yorkaise reçoit de son mari récemment décédé des lettres lui indiquant la marche à suivre pour passer à travers son deuil. Adaptation pesante et puérile du roman de Cecilia Ahern. Panoplie de situations artificielles. Réalisation compétente mais sans envergure. Chimie inopérante entre les deux vedettes. (sortie en salle: 21 décembre 2007)

Année :
Durée :
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Scénario :
D'après le roman de Cecelia Ahern
À la mort de son conjoint Gerry, Holly Kennedy s'enferme avec son désespoir dans son appartement de Soho. Le jour de son trentième anniversaire, sa mère et ses amies, qui se sont introduites chez elle, lui présentent un gâteau mystérieusement livré à sa porte, lequel est accompagné d'un message audio du défunt l'enjoignant de sortir faire la fête avec ses copines. Le lendemain, une lettre posthume de Gerry lui annonce qu'il la guidera dans les étapes de son deuil, lettre après lettre. C'est ainsi que la jeune femme se reprend en main, sur les ordres épistolaires de son amoureux trépassé. Celui-ci l'obligera même à retourner dans son Irlande natale, où ils se sont connus autrefois.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le scénariste Richard LaGravenese (THE FISHER KING), passé à la réalisation en 1998 avec le très amusant LIVING OUT LOUD, a tiré du roman de Cecilia Ahern un mélo pesant et franchement puéril. Les raisons du ratage sont nombreuses. D'abord et surtout, une absence totale de chimie entre les vedettes Hilary Swank et Gerard Butler, qui défendent au meilleur de leur capacité des protagonistes unidimensionnels et, dans le cas de la première, franchement antipathique. Aussi, un récit aux scènes étirées inutilement, aux personnages secondaires facultatifs et transparents. Ensuite, une panoplie de situations artificielles et forcées, qui transforme ce manuel d'instructions sur le deuil (une bonne idée au départ) en un insignifiant quiz de croissance personnelle. Enfin, une réalisation compétente mais sans envergure, embourbée dans ses décors de magazines et enivrée par son propre pot-pourri de fleur bleue.

Texte : Martin Bilodeau

Revue de presse

Irk...

Rarement aura-t-on vu au cinéma un mélo pour jeunes filles aussi lent et aussi pataud que cette adaptation façon diaporama de matante du roman de Cecilia Ahern. (...) (un) film décérébré comme un test de psycho pop et décoré comme une page de magazine.

P.S. Je t'aime Richard LaGravenese

Mon fantôme d'amour

Comme dans toute comédie romantique qui se respecte, l'histoire n'est pas ponctuée que de drames. L'humour, livré à petites doses, arrive sans crier gare (...). (Les) blagues se prennent fort bien dans un film alourdi par des scènes parfumées à l'eau de rose, bavardes et qui s'étirent inutilement.

P.S. Je t'aime Richard LaGravenese

Gimmicky Romantic Comedy

There is nothing special about this romance. (...) The Irish scenery is quite lovely as caught by Terry Stacey's camera and designer Shepherd Frankel makes the Irish and American pubs, homes and apartments feel cozy and lived-in. But the movie itself feels oddly uninhabited.

P.S. Je t'aime Richard LaGravenese

Attention guimauve!

Des séquences émotions, entrecoupées de répliques à la FRIENDS, des copines délurées, (...) et même du karaoké... Ce film utilise pas mal de clichés sur le genre féminin et les relations amoureuses, tout en restant agréable à regarder. Tous ceux, ou plutôt celles, qui ont adhéré à RÉELLEMENT L'AMOUR s’en délecteront.

P.S. Je t'aime Richard LaGravenese

Mièvre, lourd et convenu

Cette mièvre comédie romantique aux lourds accents mélos (...) souffre d'une grave erreur de casting: Hilary Swank dans un rôle qui siérait à merveille à Sandra Bullock. Comme un malheur ne vient jamais seul, le récit est télégraphié, la trame sonore assommante et les personnages souvent au bord de l'hystérie.

P.S. Je t'aime Richard LaGravenese

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