Jouant (...) la carte (...) de la torture morale plus que physique, LES INCONNUS raconte efficacement le destin de deux personnes pour qui plus rien ne va. (...) La faiblesse - toute relative - (du film) se trouve dans le sentiment de déjà-vu de plusieurs scènes (...). Quiconque est familier au genre devinera bien des punchs. Mais ne manquera quand même pas de sursauter ici et là.

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(...) rien de neuf (...), mais le tout (...) demeure (...) bien exécuté. La mise en scène minimaliste (...) distille un climat inquiétant qui laisse place à une franche terreur à mesure que l'étau se resserre. Le jeu sur la profondeur de champ (...) est particulièrement réussi. L'est également le montage sonore, qui contribue grandement à instaurer une ambiance empreinte d'étrangeté.

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The secret to a good horror movie is the set-up, and Bertino (...) gives us plenty of reasons to care what happens to the couple. He keeps the premise simple (...), the bloodshed to a minimum and the time frame realistically short (...). The film builds slowly yet remains tight and well-paced, its 77 minutes feeling just right.

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Dans ce genre d’exercice, l’abondance de frissons peut excuser la réalisation mécanique et les interprétations plus ou moins convaincantes. Il n’y a pourtant aucun moment intense où le cœur bat la chamade, ni de rires clairsemés, tant les êtres présents se prennent terriblement au sérieux. Surtout que le récit (...) joue avec le sadisme de bas étage.

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Pour éprouver un quelconque frisson (...), il faudra soit n'avoir jamais vu de film d'horreur de sa vie, soit être hypersensible aux effets-chocs convenus (...) ou encore avoir subi un réel traumatisme un soir d'Halloween. Quiconque ne correspondant à aucune de ces catégories en sera quitte pour se demander comment on peut produire pareille ineptie...

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