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Les Frères Solomon (The Brothers Solomon)

É.-U. 2007. Comédie de Bob Odenkirk avec Will Arnett, Will Forte, Kristen Wiig. Deux frères mésadaptés sociaux font appel à une mère porteuse pour donner un petit-fils à leur père tombé dans le coma. Scénario laborieux et souvent stupide. Personnages secondaires mal définis. Quelques gags amusants et idées saugrenues. Réalisation fonctionnelle. Interprétation indigeste. (sortie en salle: 7 septembre 2007)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Les Frères Solomon (The Brothers Solomon)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 2007. Comédie de Bob Odenkirk avec Will Arnett, Will Forte, Kristen Wiig.

Deux frères mésadaptés sociaux font appel à une mère porteuse pour donner un petit-fils à leur père tombé dans le coma. Scénario laborieux et souvent stupide. Personnages secondaires mal définis. Quelques gags amusants et idées saugrenues. Réalisation fonctionnelle. Interprétation indigeste. (sortie en salle: 7 septembre 2007)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Columbia
Élevés en Arctique par leur père veuf, John et Dean Solomon, mésadaptés sociaux naïfs et maladroits, ont cependant le coeur sur la main. Juste avant de tomber dans le coma, leur géniteur a émis le souhait d'être grand-père. En fils dévoués, Dean et John partent aussitôt à la recherche de la compagne idéale, mais leur quête échoue lamentablement. Après avoir envisagé l'adoption, ils décident de placer une annonce sur Internet pour trouver une mère porteuse. Par besoin d'argent, la jeune Janine se porte candidate. Mais les frangins ont maille à partir avec l'ex-petit ami de cette dernière, un concierge afro-américain au tempérament colérique.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Hormis un ou deux gags amusants et certaines idées saugrenues, cette comédie, qui rappelle le DUMB AND DUMBER des frères Farrelly, se révèle laborieuse et souvent stupide. En outre, les personnages secondaires sont particulièrement mal définis. À commencer par la voisine de palier avec qui l'un des frères flirte avec insistance, mais sans résultats probants. La réalisation fonctionnelle de Bob Odenkirk (LET'S GO TO PRISON) ne manque toutefois pas de rythme. Les deux vedettes en font des tonnes dans le registre nigauds béats, mais leur jeu devient vite indigeste. En revanche, Chi McBride, en brute obsédée par le racisme, arrache quelques rires.

Texte : Louis-Paul Rioux

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