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Les Fous de la moto (Wild Hogs)

É.-U. 2007. Comédie de Walt Becker avec John Travolta, Tim Allen, William H. Macy. Motards du dimanche en mal d'aventure, quatre amis partent sur les routes, où ils rencontrent de vrais motards qui n'entendent pas à rire. Scénario particulièrement peu inspiré. Gags faciles. Réalisation fonctionnelle. Interprétation enthousiaste. (sortie en salle: 2 mars 2007)

Général
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Les Fous de la moto (Wild Hogs)

Général Général

É.-U. 2007. Comédie de Walt Becker avec John Travolta, Tim Allen, William H. Macy.

Motards du dimanche en mal d'aventure, quatre amis partent sur les routes, où ils rencontrent de vrais motards qui n'entendent pas à rire. Scénario particulièrement peu inspiré. Gags faciles. Réalisation fonctionnelle. Interprétation enthousiaste. (sortie en salle: 2 mars 2007)

Largué par son épouse mannequin, au bord de la faillite, Woody, un avocat de Cincinnati, convainc ses trois amis, motards du dimanche, de partir avec lui sur les routes, en direction de l'océan Pacifique. De passage au Nouveau-Mexique, le quatuor en mal d'aventure est confronté à une bande de vrais motards, les Del Fuegos, qui n'entendent pas à rire. Encore moins lorsque Woody provoque accidentellement l'incendie de leur bar, à l'insu de ses amis. Ignorant qu'ils ont été pris en chasse, ces derniers décident de faire escale dans une petite ville où Dudley, timide programmeur informatique, s'éprend de la charmante propriétaire du «diner» local.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Particulièrement peu inspiré, ce CITY SLICKERS sur deux roues est sauvé de l'insignifiance complète par les prestations sympathiques et enthousiastes des quatre vedettes. Exception faite de l?éloquente illustration des affres de la crise de la cinquantaine qu?il propose, WILD HOGS offre un scénario à numéros aux développements mal agencés, ponctué de gags faciles, le plus souvent en bas de la ceinture. En fin de parcours, les auteurs nous resservent une morale convenue sur la force de l'amitié et la nécessité d'être authentique en toute chose. La réalisation, fonctionnelle et totalement anonyme, ne parvient jamais à mettre en valeur des paysages pourtant magnifiques.

Texte : Louis-Paul Rioux

Revue de presse

Born to Be Mild

(...) the movie never rises to the level of the professional, much less the comic. The gags are witless and surprisingly gross (insect splatter, feces disposal bags, inadvertent homosexual come-ons and the like). The four actors, each accustomed to being at the center, never develop any rhythm, any chemistry, any anything. Finally, two-thirds into its aimlessness, the movie turns into a mild parody of a previous parody, THREE AMIGOS. Mistaken for a real motorcycle gang, they save a picturesque town from destruction by the real gang. Oh, the wastage: charming Marisa Tomei, psycho Ray Liotta, plus the big four fronting the pic. It's born to be mild.

Fous de la moto, Les Walt Becker

Uninspired Script and Broad Slapstick

Male menopause spews a lot of exhaust in WILD HOGS, a high-concept middlebrow comedy with Tim Allen, John Travolta, Martin Lawrence and William H. Macy as staid suburbanites who decide to discover America a la EASY RIDER. Peter Fonda actually turns up in the closing reel, yet one suspects fictive Captain America is spinning somewhere in his off-highway grave. Uninspired script and broad slapstick yuks won't earn this any plaudits, but slick, safe package should do OK with North American mall auds. (...) Instead, the humor rests primarily on slapstick wipeouts that have no physical consequence, as well as de rigeur crotch kicks and pee-pee/ca-ca stuff. No players are seen to their best advantage (Liotta and Tomei seem especially nonplussed), though Travolta has amusing moments of bogus bravado.

Fous de la moto, Les Walt Becker

Vulgar Road Comedy

With its clever premise and quartet of appealing comedic star turns, WILD HOGS is a step above the typical comedies rolling off the assembly lines of the major studios. Unfortunately, though it gets off to a promising beginning, the film soon degenerates into typical slapstick silliness that, while it should prove crowd-pleasing, squanders its considerable comedic potential. (...) Still, the onscreen chemistry demonstrated by the likable performers, who clearly seem to be enjoying one another, goes a long way toward overcoming the film's mechanical and distasteful aspects. And the subplot involving Macy's awkward courtship of a beautiful waitress (...) has a sweetness that contrasts well with the otherwise vulgar humor.

Fous de la moto, Les Walt Becker

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