Les Deux Mondes

Name: Deux Mondes, Les
Director: Daniel Cohen
Genre: Comédie
Released: 2009-04-16 15:24:20
Duration: 105 min.

Fr. 2007. Comédie de Daniel Cohen avec Benoît Poelvoorde, Natacha Lindinger, Michel Duchaussoy. Un modeste restaurateur de tableaux parisien, devenu roi d'une tribu primitive dans un monde parallèle, doit sauver son peuple de l'esclavage. Scénario mal construit pauvre en gags vraiment drôles. Fin moralisatrice. Rythme laborieux. Trucages efficaces. Interprétation trop retenue de B. Poelvoorde.

Les Deux Mondes (Les Deux Mondes)

Général

Fr. 2007. Comédie de Daniel Cohen avec Benoît Poelvoorde, Natacha Lindinger, Michel Duchaussoy.

Un modeste restaurateur de tableaux parisien, devenu roi d'une tribu primitive dans un monde parallèle, doit sauver son peuple de l'esclavage. Scénario mal construit pauvre en gags vraiment drôles. Fin moralisatrice. Rythme laborieux. Trucages efficaces. Interprétation trop retenue de B. Poelvoorde.

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Genre :

Comédie

Année :

2007

Durée :

105 min.

Réalisation :

Daniel Cohen

Scénario :

Daniel Cohen
Jean-Marc Culiersi

Photographie :

Laurent Dailland

Musique :

Richard Harvey

Montage :

Catherine Kelber Michel

Pays :

France

Distributeur :

TVA-Films

Interprètes :

Benoît Poelvoorde
Natacha Lindinger
Michel Duchaussoy
Daniel Cohen
Pascal Elso
Arly Jover

site officiel

Modeste restaurateur de tableaux parisien, Rémy Bassano mène une existence sans histoire lorsque son épouse et mère de ses deux enfants lui annonce qu'elle le quitte. Comble de malheur, son atelier est inondé et son entreprise, menacée de faillite. Soudain projeté dans un monde parallèle, où il est élevé bien malgré lui au rang de roi d'une tribu primitive opprimée, Rémy va s'employer à sauver son peuple de l'esclavage, trouvant en lui des ressources insoupçonnées.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pourtant parti dâââ€š¬ââ€ž¢une idée prometteuse, le comédien et réalisateur Daniel Cohen livre une comédie poussive et en demi-teinte, qui hésite constamment entre la fantaisie débridée (dans le monde parallèle) et le romantisme mièvre (dans le monde réel). Mal construit et pauvre en gags vraiment drôles, le scénario s'essouffle à mi-parcours. Dès lors en effet, les allers-retours du protagoniste entre les deux univers, mécaniques et répétitifs, nous conduisent péniblement vers un dénouement moralisateur. L'auteur a pourtant obtenu les moyens de ses ambitions, comme en témoignent les scènes de foule et les effets spéciaux assez réussis. Benoît Poelvoorde (PODIUM) offre une prestation trop sage, voire éteinte par moments, ce qui nâââ€š¬ââ€ž¢est pas dans ses habitudes.

Texte : Olivier Lefébure

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