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Le Porte-bonheur (Good Luck Chuck)

É.-U. 2007. Comédie sentimentale de Mark Helfrich avec Dane Cook, Jessica Alba, Dan Fogler. Un dentiste dont les amantes trouvent systématiquement un mari juste après l'avoir quitté veut conjurer ce sort lorsqu'il s'éprend d'une employée d'aquarium. Comédie polissonne réservant autant de bonnes idées que de situations illogiques. Humour inégal et parfois de mauvais goût. Réalisation manquant de relief. Interprétation sympathique à défaut d'être très subtile.

13 ans + (érotisme, langage vulgaire)
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Le Porte-bonheur (Good Luck Chuck)

13 ans + (érotisme, langage vulgaire) 13 ans + (érotisme, langage vulgaire)

É.-U. 2007. Comédie sentimentale de Mark Helfrich avec Dane Cook, Jessica Alba, Dan Fogler.

Un dentiste dont les amantes trouvent systématiquement un mari juste après l'avoir quitté veut conjurer ce sort lorsqu'il s'éprend d'une employée d'aquarium. Comédie polissonne réservant autant de bonnes idées que de situations illogiques. Humour inégal et parfois de mauvais goût. Réalisation manquant de relief. Interprétation sympathique à défaut d'être très subtile.

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Les Films Séville
Un sort pèse sur le dentiste Charlie «Chuck» Logan. En effet, juste après l'avoir quitté, toutes ses petites amies trouvent le grand amour. Et le bruit court, de sorte que plusieurs femmes souhaitent passer une nuit avec lui afin que le mari idéal se matérialise. Sur les encouragements du chirurgien plastique Stu, un ami d'enfance obsédé par le sexe, Chuck se prête de bonne grâce aux exigences de ces dames qui, sans exception, lui envoient peu après un faire-part de mariage. Or, le dentiste est follement épris de Cam, une spécialiste des pingouins à l'aquarium de la ville. Prêt à tout pour ne pas la perdre et enfin connaître l'amour, il s'efforce de briser la malédiction, qui remonterait à son enfance...

L’AVIS DE MEDIAFILM

Bien qu'elle parte d'une prémisse intrigante aux accents romantico-fantastiques, cette comédie polissonne est loin de remplir toutes ses promesses. Ainsi, les idées ingénieuses sont rapidement désamorcées par des développements illogiques, tandis que l'humour, parfois rafraîchissant, s'empêtre dans un slapstick éculé et sombre même à l'occasion dans le mauvais goût et la misogynie. La sexualité, omniprésente, perd de sa puissance provocatrice à la longue, devenant bassement racoleuse dans certaines scènes. Quant au volet proprement sentimental, il produit en fin de compte bien peu d'étincelles ou de surprises. Monteur attitré de Brett Ratner (notamment pour RED DRAGON et la série des RUSH HOUR), Mark Helfrich fait des débuts peu prometteurs derrière la caméra, signant une mise en scène dénuée de relief et d'originalité. Outre Dan Fogler, vite lassant en obsédé sexuel à la surexcitation juvénile, les interprètes s'avèrent plutôt sympathiques, à défaut d'être très subtils.

Texte : Louis-Paul Rioux

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