É.-U. 2007. Comédie fantaisiste de Zach Helm avec Dustin Hoffman, Natalie Portman, Jason Bateman. Lorsque le propriétaire d'un magasin de jouets lègue ce dernier à sa jeune protégée, la magie de l'endroit menace de disparaître. Récit enfantin et prévisible. Nombreux clichés. Réalisation correcte. Effets spéciaux spectaculaires. Cabotinage agaçant de D. Hoffman. (sortie en salle: 16 novembre 2007)
Lorsque le propriétaire d'un magasin de jouets lègue ce dernier à sa jeune protégée, la magie de l'endroit menace de disparaître. Récit enfantin et prévisible. Nombreux clichés. Réalisation correcte. Effets spéciaux spectaculaires. Cabotinage agaçant de D. Hoffman. (sortie en salle: 16 novembre 2007)
Alors que le projet laissait présager une production familiale sortant des sentiers battus, MR. MAGORIUM'S WONDER EMPORIUM ressasse les mêmes vieilles idées à travers un récit prévisible, sirupeux et pétri de clichés. Pour un film dont le thème central est l'éveil à l'imagination, on s'étonne qu'il en soit à ce point dépourvu. Zach Helm, scénariste de STRANGER THAN FICTION, signe ici une première réalisation correcte, quoiqu'un peu éparpillée. Helm semble confondre magie et surenchère d'effets spéciaux tape-à-l'oeil. À ce bilan plutôt négatif s'ajoute le cabotinage agaçant de Dustin Hoffman. Heureusement que Natalie Portman, malgré la minceur de son personnage, apporte un peu de fraîcheur et de retenue à l'entreprise.
Texte : Kevin Laforest
Owen Gleiberman - Entertainment Weekly
The characterization is every bit as cheap. Mr. Magorium, who is 243 years old (so are his jokes), is a cross between Willy Wonka and Geppetto, but Hoffman plays him with little more than a goofy dumb lisp, achieved by tucking his lower lip under his upper teeth, so that he looks just as rabbity-stoopid as he sounds.
Kevin Laforest - Voir
(C')est un film archi-prévisible, sirupeux et débordant de clichés (...). Plutôt que de faire preuve d'originalité et d'audace, cet énième dérivé de CHARLIE ET LA CHOCOLATERIE se contente de recycler mollement les mêmes vieilles rengaines. (...) Zach Helm (...) semble confondre magie et surenchère d'effets spéciaux.
Stephen Holden - The New York Times
(...) if the concept is ingenious, its execution is erratic. The story is arbitrarily divided into chapters of varying length that have no clear beginning, middle or end, and the movie’s narrative drive is sporadic. (...) One of the movie’s weaknesses is Ms. Portman’s attitude of disengagement. Even when magic is all around, the sparkle in her eyes is dim.