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Le Grand Stan (Big Stan)

É.-U. 2007. Comédie de Rob Schneider avec Rob Schneider, Jennifer Morrison, Scott Wilson. Un agent immobilier condamné à la prison pour fraude suit des cours d'arts martiaux afin de pouvoir se défendre contre ses codétenus. Assemblage quelconque de scènes convenues et de gags vulgaires. Personnages stéréotypés à l'excès. Réalisation fonctionnelle. Interprétation assez vivante.

13 ans + (langage vulgaire)
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Le Grand Stan (Big Stan)

13 ans + (langage vulgaire) 13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 2007. Comédie de Rob Schneider avec Rob Schneider, Jennifer Morrison, Scott Wilson.

Un agent immobilier condamné à la prison pour fraude suit des cours d'arts martiaux afin de pouvoir se défendre contre ses codétenus. Assemblage quelconque de scènes convenues et de gags vulgaires. Personnages stéréotypés à l'excès. Réalisation fonctionnelle. Interprétation assez vivante.

Genre :
Année :
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Réalisation :
Scénario :
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Musique :
Stan Minton, agent immobilier véreux, est condamné à trois ans de pénitencier pour avoir arnaqué des personnes âgées. Terrifié à l'idée d'être agressé sexuellement en prison, Minton décide de mettre à profit les six mois de sursis qu'il a obtenus pour apprendre les arts martiaux. Pour ce faire, il engage un expert, appelé Le Maître. La meilleure défense étant l'attaque, Minton, à peine incarcéré, flanque une raclée aux détenus les plus méchants et les plus violents.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Vedette de nombreux films comiques (DEUCE BIGALOW 1 et 2, ANIMAL), Rob Schneider porte ici les triples casquettes de comédien, de réalisateur et de coproducteur. Or, plutôt que de s'offrir le rôle que personne n'ose lui donner, Schneider rempile et nous vomit un assemblage laborieux, vulgaire et stupide de scènes convenues et de gags scatologiques, soutenu par une intrigue mince reposant sur la crainte du «héros» d'être sodomisé en prison. Les seconds rôles, stéréotypés à l'excès, reconduisent ad nauseam nombre de clichés sur les homosexuels. Quant à la réalisation, elle demeure platement fonctionnelle. Le numéro de danse final, peu dynamique, n'arrange rien. Rob Schneider offre néanmoins une interprétation assez vivante.

Texte : Olivier Lefébure

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