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Le Club Jane Austen (The Jane Austen Book Club)

É.-U. 2007. Comédie dramatique de Robin Swicord avec Kathy Baker, Maria Bello, Hugh Dancy. Les démêlés familiaux et sentimentaux de cinq femmes et d'un homme formant un club de lecture consacré aux romans de Jane Austen. Adaptation gracieuse du best-seller de Karen Joy Fowler. Habiles jeux de miroirs et de correspondances entre les personnages et les héroïnes des romans. Mise en scène vivante quoique conventionnelle. Interprétation harmonieuse. (sortie en salle: 5 octobre 2007)

Général
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Le Club Jane Austen (The Jane Austen Book Club)

Général Général

É.-U. 2007. Comédie dramatique de Robin Swicord avec Kathy Baker, Maria Bello, Hugh Dancy.

Les démêlés familiaux et sentimentaux de cinq femmes et d'un homme formant un club de lecture consacré aux romans de Jane Austen. Adaptation gracieuse du best-seller de Karen Joy Fowler. Habiles jeux de miroirs et de correspondances entre les personnages et les héroïnes des romans. Mise en scène vivante quoique conventionnelle. Interprétation harmonieuse. (sortie en salle: 5 octobre 2007)

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Genre :
Comédie dramatique
Année :
2007
Durée :
106 min.
Réalisation :
Robin Swicord
Pays :
États-Unis
Distributeur :
Métropole Films Distribution
Interprètes :
Kathy Baker
Maria Bello
Hugh Dancy
Amy Brenneman
Emily Blunt
Maggie Grace
Jimmy Smits
Marc Blucas
Parisa Fitz-Henley

site officiel
En bavardant avec Prudie, une jeune enseignante mal mariée qui, comme elle, adule Jane Austen, Bernadette, une sexagénaire divorcée, décide de former un club de lecture consacré aux romans de la célèbre auteure d'«Orgueil et préjugés». Son objectif: apporter un peu de réconfort à son amie Jocelyn, quadragénaire célibataire en deuil de son chien. Ironiquement, cette dernière se fait du souci pour sa meilleure amie Sylvia, en instance de divorce. Afin de la soutenir, et pour digérer la trahison de sa propre petite amie, sa fille Allegra rentre au bercail. Et accepte, comme sa mère, de faire partie du club, composé de cinq personnes, chacune devant défendre un roman. Or, Austen en a écrit six. Spontanément, Jocelyn offre la place vacante à Grigg, un jeune informaticien qu'elle espère jeter dans les bras de Sylvia.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Plutôt que de mettre docilement en images le best-seller de Karen Joy Fowler, l'Américaine Robin Swicord a pris ses distances avec celui-ci. En rajeunissant la plupart des personnages, d'une part, mais également en affinant leurs profils psychologiques et en acidifiant l'humour, résolument plus proche de celui de Jane Austen. Scénariste de métier (MEMOIRS OF A GEISHA, LITTLE WOMEN), inconditionnelle de l'oeuvre de l'écrivaine, Swicord, qui signe à 55 ans son premier long métrage, a donc ravalé la façade, sans rien perdre de ce qui fait l'intérêt du roman, à savoir les jeux de miroirs et de correspondances entre les héroïnes résolument contemporaines du récit et celles, toujours modernes, de l'auteure de «Mansfield Park». S'il est par nature bavard, THE JANE AUSTEN BOOK CLUB n'est jamais statique, la mise en scène vivante quoique conventionnelle de la cinéaste maintenant l'ensemble dans un mouvement gracieux et léger. On peut en dire autant du jeu, généreux et harmonieux, de la brillante distribution.

Texte : Martin Bilodeau

Revue de presse

Bienvenue au Club

Il y a peu à dire sur ce casting très propre, très stéréotypé. Pas plus que sur le film, un peu longuet (1h45), sympathique mais sans plus. On sent la volonté de bien faire derrière chaque idée, chaque plan. Encore une fois, ce n'est pas toujours réussi mais cela reste... sympa.

Club Jane Austen, Le Robin Swicord

Tourne la page

Faisant fi de la réalisation somme toute conventionnelle (...), on savourera pleinement les répliques piquantes et spirituelles, de même que les personnages sympathiques et touchants, campés par une belle brochette d'acteurs en parfait diapason. Et surtout, l'on aura envie de se replonger dans l'oeuvre d'Austen (...), laquelle (...) parvient encore à nous faire réfléchir sur la nature humaine.

Club Jane Austen, Le Robin Swicord

Un Séduisant Labyrinthe de miroirs

(...) on pourrait croire que THE JANE AUSTEN BOOK CLUB est un film stationnaire et bavard. Bavard, il l'est, mais stationnaire, jamais. Les démêlés sentimentaux, les obligations professionnelles, les mille et une choses de la vie (...) sont intercalés entre les rendez-vous du club, qu'ils éclairent à leur façon. (...) on ne s'ennuie jamais devant ce film pétillant, souvent drôle, toujours bien joué.

Club Jane Austen, Le Robin Swicord

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