(...) Oz a trouvé un second souffle avec JOYEUSES FUNÉRAILLES, une satire délirante à la modestie évidente, enrobée d'un charme bien british et se déroulant à un rythme de sitcom américaine (...). Et vous ne trouverez pas en ce moment (...) plus beau bijou d'humour vitriolique doublé d'une galerie de personnages dont l'apparente banalité camoufle une énergie comique dévastatrice.

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Ces éléments boulevardiers (...) laissaient espérer un vaudeville féroce sur les mœurs sociales et sexuelles british. Mais non. Pas très à l’aise (...), Frank Oz (...) dilue son peu de vitriol dans des litres de thé (froid). Les grimaces hallucinées du drogué malgré lui (...) arrachent quelques sourires. Vite figés (...) par l’indolence du rythme et l’irruption catastrophique de gags scato.

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Une unité de lieu et de temps, des quiproquos en chaîne et des situations vaudevillesques: cette comédie noire relève quasiment du théâtre. Difficile de résister à la bonne humeur générale, même si certains gags récurrents alourdissent un peu l'entreprise.

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Avec ses mystères et ses rebondissements, le film surprend de bout en bout et distille ses surprises sur un rythme crescendo. L'humour est noir, of course, scabreux et très incorrect, dans la veine des meilleures comédies anglaises. À mourir... de rire !

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Une comédie grinçante mêlant à la fois cynisme et situations délirantes qui ne sont pas sans rappeler le succès de QUATRE MARIAGES ET UN ENTERREMENT ou les sketchs des Monty Python. (...) Des situations rocambolesques aux dialogues acerbes, tous les ingrédients sont réunis pour faire de JOYEUSES FUNÉRAILLES la comédie de la rentrée.

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C’est un vent de pure folie, très british, qui souffle sur cette comédie à mourir de rire. (...) Frank Oz nous divertit avec un humour noir déjanté, et même s’il pousse parfois la mécanique à l’extrême, enchaînant les péripéties les plus burlesques, on se laisse emporter par le rythme effréné de cette farce.

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