J'attends quelqu'un

Name: J'attends quelqu'un
Director: Jérôme Bonnell
Genre: Comédie dramatique
Duration: 96 min.

Fr. 2007. Comédie dramatique de Jérôme Bonnell avec Jean-Pierre Darroussin, Emmanuelle Devos, Sylvain Dieuaide. Les remises en question sentimentales d'un divorcé, patron d'un petit café-restaurant, d'une institutrice mariée et d'un jeune homme mystérieux. Chronique douce-amère de gens ordinaires à la recherche du bonheur. Histoire finement écrite. Personnages riches psychologiquement. Réalisation discrète. Interprétation sensible.

J'attends quelqu'un (J'attends quelqu'un)

Général

Fr. 2007. Comédie dramatique de Jérôme Bonnell avec Jean-Pierre Darroussin, Emmanuelle Devos, Sylvain Dieuaide.

Les remises en question sentimentales d'un divorcé, patron d'un petit café-restaurant, d'une institutrice mariée et d'un jeune homme mystérieux. Chronique douce-amère de gens ordinaires à la recherche du bonheur. Histoire finement écrite. Personnages riches psychologiquement. Réalisation discrète. Interprétation sensible.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

2007

Durée :

96 min.

Réalisation :

Jérôme Bonnell

Pays :

France

Distributeur :

Métropole Films Distribution

Interprètes :

Jean-Pierre Darroussin
Emmanuelle Devos
Sylvain Dieuaide
Éric Caravaca
Florence Loiret-Caille

Patron d'un petit café-restaurant, Louis, père divorcé, s'attache à Sabine, une prostituée. Sa soeur Agnès, institutrice, mène une petite vie monotone auprès de son mari hypocondriaque. Stéphane, un jeune homme effacé revenu en ville après deux ans d'absence, surveille les allées et venues d'une jeune mère de famille. Plusieurs rencontres et incidents vont amener ces trois êtres en quête d'amour et d'affection à faire le point sur leurs vies sentimentales.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avec beaucoup de pudeur et de délicatesse, Jérôme Bonnell (LE CHIGNON D'OLGA) brosse le portrait de petites gens ordinaires qui, sans se l'avouer, sont en quête d'amour fou. Finement écrit, le scénario décrit, par petites touches, leurs blessures et leurs espoirs sans jamais sombrer dans le mélo ou la mièvrerie. Marchant sur le fil du rasoir, le film se révèle de bout en bout d'une criante vérité et d'une extrême sensibilité. Ponctuellement, une petite touche d'humour vient éclairer cette chronique douce-amère au rythme lent, mise en scène avec fluidité et discrétion. Au sein d'une excellente distribution, Jean-Pierre Darroussin compose un sympathique et sensible cafetier.

Texte : Olivier Lefébure

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