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Introducing the Dwights

Aust. 2007. Comédie de Cherie Nowlan avec Brenda Blethyn, Khan Chittenden, Emma Booth. Une quinquagénaire mal dégrossie tente de relancer sa carrière d'humoriste sans pour autant négliger sa progéniture. Portrait éparpillé, modérément amusant, d'une famille dysfonctionnelle. Réalisation dépourvue de personnalité. Interprétation pétillante de B. Blethyn. (sortie en salle: 13 juillet 2007)

13 ans +
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Introducing the Dwights (Introducing the Dwights)

13 ans + 13 ans +

Aust. 2007. Comédie de Cherie Nowlan avec Brenda Blethyn, Khan Chittenden, Emma Booth.

Une quinquagénaire mal dégrossie tente de relancer sa carrière d'humoriste sans pour autant négliger sa progéniture. Portrait éparpillé, modérément amusant, d'une famille dysfonctionnelle. Réalisation dépourvue de personnalité. Interprétation pétillante de B. Blethyn. (sortie en salle: 13 juillet 2007)

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Les Films Séville
Jean Dwight, divorcée hyperactive d'origine anglaise, se lève tous les matins aux aurores pour gagner de quoi subvenir aux besoins de ses deux fils, Tim et Mark, qu'elle couve telle une mère poule. Les week-ends, la quinquagénaire exploite ses modestes talents d'humoriste dans diverses boîtes de seconde zone, avec l'espoir de relancer une carrière qui stagne depuis qu'elle a émigré en Australie. Au quotidien, son humour vitriolique met son entourage à rude épreuve, à commencer par les petites amies de Tim. Lorsque la plus récente élue de ce dernier décide de lui tenir tête, le clan Dwight s'en trouve transformé pour le mieux.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Film sur le thème de l'humour, centré plus particulièrement sur les tribulations d'une humoriste mal dégrossie, INTRODUCING THE DWIGHTS, paradoxalement, ne parvient jamais pas à déclencher l'hilarité. D'où le malaise qu'il inspire. Si quelques gags font mouche, d'autres frappent sous la ceinture, ce qui n'est guère heureux. Cela dit, les séquences où le personnage de Jean monte sur scène sont crédibles et, par un curieux effet pervers, réussissent à nous communiquer le malaise d'une artiste incapable de toucher son public. Au-delà de l'étude de mÅ“urs sur le monde des artistes, la réalisatrice Cherie Nowlan s'emploie aussi à peindre le portrait d'une famille dysfonctionnelle. Son tableau est cependant dénué de personnalité et s'éparpille en de nombreux épisodes qui manquent de liant. Au final, il ne restera comme bon souvenir que la performance de la pétillante Brenda Blethyn.

Texte : Michel Defoy

Revue de presse

A comedy in which nothing works

Nothing about this movie works, not the title (it used to be called "Clubland "), not Blethyn's attempt to inject comedy into her rickety stereotype of a character. (...) The movie is also shot and edited erratically. For the first 45 minutes, scenes end randomly to move on to the next unfinished development. Is this dark comedy? Is it domestic tragedy?

Introducing the Dwights Cherie Nowlan

A Down-and-Out Family Down Under

(...) a funny-sad, icky-sweet comedy of family dysfunction - a genre that seems to flourish in Australia, this film’s country of origin. (...) The film seems pulled between conflicting impulses - toward a dimension of psychological gothic almost worthy of Tennessee Williams and toward a tidy, quirky sitcom - and the filmmakers can’t find a tone that would manage both.

Introducing the Dwights Cherie Nowlan

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