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Halloween

É.-U. 2007. Drame d'horreur de Rob Zombie avec Malcolm McDowell, Tyler Mane, Brad Dourif. 15 ans après avoir assassiné sa grande soeur et son beau-père, un psychopathe s'échappe de son institution psychiatrique afin de retrouver sa plus jeune soeur. Relecture complaisante et futile du classique de John Carpenter. Réalisation tape-à-l'oeil. Interprétation au point mort. (sortie en salle: 31 août 2007)

16 ans + (violence, langage vulgaire)
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Halloween (Halloween)

16 ans + (violence, langage vulgaire) 16 ans + (violence, langage vulgaire)

É.-U. 2007. Drame d'horreur de Rob Zombie avec Malcolm McDowell, Tyler Mane, Brad Dourif.

15 ans après avoir assassiné sa grande soeur et son beau-père, un psychopathe s'échappe de son institution psychiatrique afin de retrouver sa plus jeune soeur. Relecture complaisante et futile du classique de John Carpenter. Réalisation tape-à-l'oeil. Interprétation au point mort. (sortie en salle: 31 août 2007)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Illinois, 1990. Pendant les absences prolongées de sa mère strip-teaseuse, Michael Myers, 10 ans, subit les persécutions de sa grande soeur et de son beau-père. Le soir de l'Halloween, pris de démence, il assassine brutalement ses bourreaux, la lame de son couteau n'épargnant que sa mère et sa petite soeur Laurie, encore bébé. Enfermé depuis 15 ans dans une institution psychiatrique sous la supervision du Dr. Loomis, Michael, devenu un véritable colosse, s'apprête à être transféré dans un autre établissement. Au cours du trajet, un soir d'Halloween 2007, il parvient à s'évader. Son but: retrouver Laurie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après Wes Craven (THE HILLS HAVE EYES, refait par Alexandre Aja en 2006), c'est au tour d'un autre maître du cinéma d'horreur des années 1970, John Carpenter, de voir son oeuvre remise au goût du jour. En 1978, HALLOWEEN, avait inauguré une série de sept autres films. Sa relecture par l'ex-rocker Rob Zombie (THE DEVIL'S REJECTS) n'apporte cependant rien de bien nouveau, sinon une approche tape-à-l'oeil et bruyante d'une complaisance révoltante. Car là où Carpenter suggérait la terreur en exacerbant les moments d'attente, Zombie accable le spectateur de scènes «gore» résolument explicites, assaisonnées de propos idiots, sexistes et vulgaires. Succédant à Jamie Lee Curtis et Donald Pleasance, la jeune Scout Taylor Compton livre une performance terne tandis que le respecté Malcom McDowell assure un minimum de présence.

Texte : Helen Faradji

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