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Eden Log

Fr. 2007. Science-fiction de Franck Vestiel avec Clovis Cornillac, Vimala Pons, Zohar Wexler. Prisonnier d'un laboratoire souterrain, un homme pourchassé par des mutants tente de regagner la surface. Scénario mince et parfois confus prenant la forme d'un banal parcours du combattant. Rythme incertain. Décors impressionnants. Quelques belles trouvailles visuelles. Réalisation trépidante. Jeu physique de C. Cornillac.

13 ans +
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Eden Log (Eden Log)

13 ans + 13 ans +

Fr. 2007. Science-fiction de Franck Vestiel avec Clovis Cornillac, Vimala Pons, Zohar Wexler.

Prisonnier d'un laboratoire souterrain, un homme pourchassé par des mutants tente de regagner la surface. Scénario mince et parfois confus prenant la forme d'un banal parcours du combattant. Rythme incertain. Décors impressionnants. Quelques belles trouvailles visuelles. Réalisation trépidante. Jeu physique de C. Cornillac.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Métropole Films Distribution
Au fin fond d'une caverne, 5e niveau d'un laboratoire souterrain, Tolbiac émerge d'une mare de boue. Il ne se souvient de rien et ignore comment il est arrivé là. Sa rencontre avec un mourant, qui le met en garde, ne lui est d'aucune aide. S'orientant à l'instinct, Tolbiac entreprend de remonter à la surface. Au cours de son périple, il apprend la raison d'être de ce laboratoire, lié au pouvoir énergétique exceptionnel d'un arbre qui doit assurer la survie de la cité Eden Log. Pourchassé, d'abord par des gardiens de sécurité, puis par des mutants, il n'est pas au bout de ses peines.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Franck Vestiel, un nouveau venu, s'attaque à un genre rarement abordé par les cinéastes français: la science fiction. Son huis-clos claustrophobique, au rythme incertain, peine toutefois à capter l'intérêt. L'histoire aux visées écologistes, un peu confuse au départ, prend la forme d'un banal parcours du combattant où le héros, à chaque étape franchie, en apprend un peu plus sur lui-même et sa condition. Cela dit, les décors impressionnent parfois et quelques belles trouvailles visuelles témoignent des efforts de Vestiel pour imposer sa signature. Bien qu'elle soit énergique et trépidante, sa réalisation, caméra à l'épaule, échoue à communiquer l'urgence, même en la présence menaçante des mutants. Aux prises avec un personnage monolithique, Clovis Cornillac en impose par son jeu physique, mais sa performance n'est guère nuancée.

Texte : Olivier Lefébure

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