Go to main content
6

Décadence IV (Saw IV)

É.-U. 2007. Drame d'horreur de Darren Lynn Bousman avec Tobin Bell, Scott Patterson, Lyriq Bent. Deux enquêteurs du FBI tentent de comprendre comment un tueur machiavélique peut continuer à faire des ravages même après sa mort. Récit alambiqué prétexte à un étalage répugnant de violences sanguinolentes. Réalisation superficielle multipliant les effets-chocs agressants. Interprétation primaire. (sortie en salle: 26 octobre 2007)

16 ans + (violence, horreur)
6

Décadence IV (Saw IV)

16 ans + (violence, horreur) 16 ans + (violence, horreur)

É.-U. 2007. Drame d'horreur de Darren Lynn Bousman avec Tobin Bell, Scott Patterson, Lyriq Bent.

Deux enquêteurs du FBI tentent de comprendre comment un tueur machiavélique peut continuer à faire des ravages même après sa mort. Récit alambiqué prétexte à un étalage répugnant de violences sanguinolentes. Réalisation superficielle multipliant les effets-chocs agressants. Interprétation primaire. (sortie en salle: 26 octobre 2007)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Même après sa mort, le tueur machiavélique Jigsaw continue de faire des ravages. Pour élucider ce mystère, deux enquêteurs du FBI interrogent l'ex-femme du défunt qui, malgré ses réticences, finit par leur révéler les circonstances ayant amené ce dernier à devenir un justicier psychopathe. Pendant ce temps, un agent de l'escouade tactique, qui a perdu presque tous ses proches aux mains de Jigsaw, s'empresse de retrouver un de ses collègues, qui a été kidnappé puis soumis à son tour à de cruels jeux macabres.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce quatrième épisode d'une très populaire série en remet dans l'horreur sanguinolente (cf. la pénible autopsie de Jigsaw) et les effets-chocs agressants. D'où un spectacle répugnant qui flatte plus que jamais les bas instincts du spectateur. Alambiqué au possible, le récit s'emploie à expliquer les motivations profondes du redoutable tueur en série - lesquelles se révèlent plutôt convenues - par le biais de flash-backs enchevêtrés à de nouveaux jeux de pistes meurtriers. Si la réalisation ne manque pas d'énergie brute, elle s'avère néanmoins superficielle. Les images adoptent encore une fois un ton blafard nauséeux et le montage épileptique devient vite exténuant pour le spectateur. Enfin, l'interprétation d'ensemble demeure primaire, sous-tendue par une violence omniprésente aussi lourde que redondante.

Texte : Louis-Paul Rioux

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3