É.-U. 2007. Thriller de Steven Soderbergh avec George Clooney, Brad Pitt, Al Pacino. À Las Vegas, un criminel et sa bande planifient le cambriolage du casino appartenant à l'homme qui a bafoué l'honneur d'un des leurs. Réjouissant troisième épisode d'une série à succès. Récit fertile en rebondissements. Réalisation stylisée. Interprétation décontractée. (sortie en salle: 8 juin 2007)
À Las Vegas, un criminel et sa bande planifient le cambriolage du casino appartenant à l'homme qui a bafoué l'honneur d'un des leurs. Réjouissant troisième épisode d'une série à succès. Récit fertile en rebondissements. Réalisation stylisée. Interprétation décontractée. (sortie en salle: 8 juin 2007)
Ce troisième épisode de la saga Danny Ocean prouve bien que l'air de Las Vegas sied mieux à ces charmants braqueurs que le climat européen. De fait, après le nonchalant OCEAN'S TWELVE, Steven Soderbergh, secondé par les scénaristes de ROUNDERS, signe une suite réjouissante et fertile en rebondissements. Si les deux premiers volets mettaient de l'avant les amours des cambrioleurs, OCEAN'S THIRTEEN met à profit leur sens de l'honneur et de l'amitié, le tout saupoudré d'un soupçon d'émotion et de nostalgie. Et bien entendu d'humour, lequel émerge des répliques savoureuses, des déguisements loufoques et des trouvailles imaginatives. Sans renouveler l'effet de surprise du premier épisode, la mise en scène stylisée, avec ses images aux riches couleurs saturées et son recours aux écrans divisés, évoque parfaitement l'univers glamour et clinquant des casinos. Autour d'Al Pacino, qui se délecte dans son rôle de vilain, les vedettes de la série reprennent du service avec un plaisir évident et contagieux.
Texte : Manon Dumais
Maxime Demers - Le Journal de Montréal
La majeure partie de l'action de ce troisième film se déroule dans le casino de Bank, ce qui permet à Soderbergh d'installer cette ambiance cool et élégante qui faisait la force du premier (...). Certes, il y a quelques longueurs, quelques scènes inutiles, quelques répétitions et quelques impressions de déjà vu, mais on se replonge dans l'univers d'Ocean et ses amis avec un large sourire collé au visage.
Odile Tremblay - Le Devoir
Le bon côté de ce DANNY OCEAN 13 (...), c'est le bonheur évident que prend ce bouquet de stars à se retrouver dans ces folles histoires de braquage dans un Las Vegas en folie. (...) Le scénario n'a pas grand sens, et les interprètes s'amusent trop pour apporter de la crédibilité à leurs rôles. Sauf Al Pacino, impérial en patron de casino, et Andy Garcia, toujours crédible en mauvais garçon.
Todd McCarthy - Variety
As smooth as a good mojito, as stylish as an Armani suit and as meaningful in the grand scheme of things as yesterday's Las Vegas betting odds, OCEAN's THIRSTEEN continues the breezy good times of the first two series entries without missing a beat. By returning the action to Vegas, producer Jerry Weintraub and director Steven Soderbergh recapture the feel of the 2001 original (...).
Sonia Sarfati - La Presse
Bonne idée que de ramener Danny Ocean et sa bande à Las Vegas! On retrouve ainsi, dans (…) DANNY OCEAN 13 (…), la même ambiance et le même climat que dans L’INCONNU DE LAS VEGAS, lesquels avaient subi une altération - pas concluante - dans LE RETOUR DE DANNY OCEAN où Danny et ses complices s'égaillaient à travers l'Europe... et perdaient plusieurs de leurs fans dans une intrigue non dépourvue de bons flashes mais éparpillée.
Manon Dumais - Voir
À la barre de cette entreprise où les acteurs prennent un plaisir tangible à reprendre leurs personnages (...), Steven Soderbergh livre une réalisation vivante et stylisée dont les images (...) aux couleurs saturées semblent tout droit sorties d'un magazine de mode pour hommes. S'il ne réinvente pas le genre, Soderbergh peut se vanter d'avoir réussi à le garder très en forme tout en lui donnant un bel emballage. (...) un film divertissant qui a de la classe.
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
Un 3e volet divertissant après un second épisode moins efficace. OCEAN'S THIRTEEN est un peu un Mission: Impossible en mode décontracté. Les acteurs ont tous du plaisir à jouer.
J'attribue à ce film la Cote