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Collège - Bienvenue à l'université (College)

É.-U. 2007. Comédie de Deb Hagan avec Drake Bell, Andrew Caldwell, Kevin Covais. Encore au secondaire, trois copains débarquent sur un campus universitaire où, pour draguer les filles, ils se font passer pour des étudiants du premier cycle. Triste et vulgaire ersatz de «National Lampoon's Animal House». Scénario cousu de fil blanc. Réalisation médiocre. Interprétation outrée. (sortie en salle: 29 août 2008)

13 ans + (érotisme, langage vulgaire)
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Collège - Bienvenue à l'université (College)

13 ans + (érotisme, langage vulgaire) 13 ans + (érotisme, langage vulgaire)

É.-U. 2007. Comédie de Deb Hagan avec Drake Bell, Andrew Caldwell, Kevin Covais.

Encore au secondaire, trois copains débarquent sur un campus universitaire où, pour draguer les filles, ils se font passer pour des étudiants du premier cycle. Triste et vulgaire ersatz de «National Lampoon's Animal House». Scénario cousu de fil blanc. Réalisation médiocre. Interprétation outrée. (sortie en salle: 29 août 2008)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Équinoxe Films
En dernière année du secondaire, trois copains, Kevin, Carter et Morris, débarquent sur le campus de l'Université de Fieldmont dans le but avoué de faire la fête et d'avoir des relations sexuelles. Après avoir dragué avec succès des filles en se faisant passer pour des étudiants de première année, ils sont soumis à toutes sortes d'humiliations par Bearcat, le leader mégalo d'une des fraternités. Déconfits, les trois adolescents conviennent de se venger.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Dévalant le versant le plus vulgaire des comédies dites de «frathouse» (NATIONAL LAMPOON'S ANIMAL HOUSE et REVENGE OF THE NERDS en tête), le scénario de COLLEGE, qui se vautre dans l'humour scatologique, est cousu de fils blancs (la facilité avec laquelle les trois héros séduisent les filles est tout bonnement invraisemblable). Stéréotypés à l'extrême et défendus par des acteurs au jeu outré, les personnages (le «normal», le «gros» et le «maigrelet binoclard») n'inspirent aucune sympathie, contrairement à ceux de SUPERBAD, sur lesquels ils sont manifestement calqués. La réalisation médiocre souffre au surplus d'une photo sombre et floue.

Texte : François Lévesque

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