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Au nom du roi - Dungeon Siege (In the Name of the King - A Dungeon Siege Tale)

All. 2007. Aventures de Uwe Boll avec Jason Statham, Ray Liotta, Matthew Lillard. Au Moyen-Âge, un fermier part à la recherche de son épouse, kidnappée par un maléfique sorcier ayant aussi tué leur fils. Récit laborieux multipliant les emprunts maladroits à Tolkien. Réalisation terne. Scènes de combats répétitives et confuses. Interprétation exécrable. (sortie en salle: 11 janvier 2008)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Au nom du roi - Dungeon Siege (In the Name of the King - A Dungeon Siege Tale)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

All. 2007. Aventures de Uwe Boll avec Jason Statham, Ray Liotta, Matthew Lillard.

Au Moyen-Âge, un fermier part à la recherche de son épouse, kidnappée par un maléfique sorcier ayant aussi tué leur fils. Récit laborieux multipliant les emprunts maladroits à Tolkien. Réalisation terne. Scènes de combats répétitives et confuses. Interprétation exécrable. (sortie en salle: 11 janvier 2008)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Au Moyen Âge, dans un royaume imaginaire, des créatures mi-humaines, mi-animales, sous le contrôle d'un maléfique sorcier, tuent le fils d'un simple fermier et kidnappent son épouse. Aussitôt, le paysan part à la recherche de sa douce, flanqué d'une bande de fidèles compagnons, d'un mage bienveillant et de la fille de ce dernier. Pendant ce temps, le sorcier machiavélique entreprend de déposer le roi afin d'installer sur le trône un duc à sa solde. À leur grande surprise, le fils et légitime héritier du souverain, que tous croyaient mort, refait surface...

L’AVIS DE MEDIAFILM

Bon an, mal an, l'Allemand Uwe Boll, imperturbable malgré les cuisants échecs critiques et commerciaux essuyés par chacune de ses productions (HOUSE OF THE DEAD, ALONE IN THE DEAD, BLOODRAYNE), récidive dans la veine du film autofinancé adapté d'un jeu vidéo. Le dernier en date est une adaptation du jeu DUNGEON SIEGE, bien qu'à l'évidence, THE LORD OF THE RINGS en soit l'inspiration principale. En effet, Boll multiplie les emprunts maladroits à l'oeuvre de Tolkien et à la trilogie cinématographique qu'en a tirée Peter Jackson. Sans en atteindre l'intelligence, l'âme et la finesse. À la place: un récit laborieux au possible, des dialogues ampoulés et des personnages unidimensionnels. Par ailleurs, la réalisation est terne, les monstres en caoutchouc sont risibles et les effets spéciaux, peu convaincants. Quant à l'interprétation, elle est généralement exécrable, les acteurs ayant visiblement été livrés à eux-mêmes.

Texte : Kevin Laforest

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