É.-U. 2007. Comédie sentimentale de Anne Fletcher avec Katherine Heigl, James Marsden, Malin Akerman. Une demoiselle d'honneur chronique est forcée d'organiser la noce de sa soeur avec l'homme dont elle est elle-même secrètement amoureuse. Ramassis d'idées empruntées. Scénario conventionnel désespérément dépourvu d'invention. Réalisation compétente mais anonyme. Jeu enthousiaste de la vedette. (sortie en salle: 18 janvier 2008)
Une demoiselle d'honneur chronique est forcée d'organiser la noce de sa soeur avec l'homme dont elle est elle-même secrètement amoureuse. Ramassis d'idées empruntées. Scénario conventionnel désespérément dépourvu d'invention. Réalisation compétente mais anonyme. Jeu enthousiaste de la vedette. (sortie en salle: 18 janvier 2008)
27 DRESSES n'est en définitive qu'une peinture à numéros. Tous les clichés de la comédie sentimentale y sont étalés, le travail anonyme d'Anne Fletcher (STEP UP), chorégraphe de métier (DOWN WITH LOVE), ne consistant plus qu'à les colorier. Et bien qu'il faille ici signaler la compétence de l'exécution, c'est avant tout l'absence désespérante de surprise et d'idées neuves, dans le scénario archiconventionnel, qui surprend. Surtout que celui-ci est l'oeuvre de la scénariste de THE DEVIL WEARS PRADA, une comédie nettement plus ambitieuse et réussie que ce rose hommage à l'institution du mariage et à l'industrie milliardaire qui en fait la promotion. Aux prises avec des personnages archétypés façon Hollywood d'antan, l'esprit en moins, les acteurs font tout de même assez bonne figure. Mais on retiendra par dessus tout l'enthousiasme souriant de Katherine Heigl (KNOCKED UP), étoile montante autour de laquelle la production s'est érigée.
Texte : Martin Bilodeau
Helen Faradji - Showbizz.net
Et malgré quelques rares sourires, qu’elles sembleront longues ces deux longues heures de conte de fées vues mille fois… (...) Le rythme est plan-plan, les dialogues sans saveur, la réalisation terne, le film sans envergure. Le politiquement correct règne en maître. L’ennui et le désarroi, eux, n’ont aucun mal à se faire leur place.
Rachel Haller - Ici
(...) quand la romance donne dans la psychologie de supermarché, on image volontiers les dégâts. D’autant que les personnages trébuchent dans des monologues sans fin et que le propos n’est re´solument jamais drôle. (...) Quant à la réalisation (...), elle sent ici le parfum bon marché porté par des acteurs plutôt médiocres.
Kevin Laforest - Voir
Tous les (...) clichés éculés des comédies romantiques y passent, incluant un interminable montage musical où Heigl étrenne toutes ses robes. Pénible.