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Zoom

É.-U. 2006. Comédie fantaisiste de Peter Hewitt avec Tim Allen, Courteney Cox, Ryan Newman. Un ex-superhéros déchu doit entraîner quatre jeunes aux pouvoirs très spéciaux, appelés à combattre un être démoniaque qui menace la planète. Adaptation bancale du livre de Jason Lethcoe. Humour très inégal et souvent puéril. Suspense quasi inexistant. Quelques effets spéciaux amusants. Montage confus. Interprétation enthousiaste mais chargée. (sortie en salle: 11 août 2006)

Général
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Zoom (Zoom)

Général Général

É.-U. 2006. Comédie fantaisiste de Peter Hewitt avec Tim Allen, Courteney Cox, Ryan Newman.

Un ex-superhéros déchu doit entraîner quatre jeunes aux pouvoirs très spéciaux, appelés à combattre un être démoniaque qui menace la planète. Adaptation bancale du livre de Jason Lethcoe. Humour très inégal et souvent puéril. Suspense quasi inexistant. Quelques effets spéciaux amusants. Montage confus. Interprétation enthousiaste mais chargée. (sortie en salle: 11 août 2006)

En neutralisant son frère Concussion, rendu démoniaque après une exposition aux rayons gamma, Jack Shepard, alias Capitaine Zoom, a perdu tous ses pouvoirs et causé la disparition des autres membres de sa famille. Trente ans plus tard, le général Larraby force Jack, maintenant mécanicien, à revenir travailler pour le gouvernement, sans toutefois lui révéler que Concussion, que l'on croyait mort depuis toutes ces années, prépare son retour. L'ex-superhéros se voit alors confier la tâche d'entraîner quatre jeunes aux pouvoirs très spéciaux qui, ultimement, seront appelée à affronter l'être diabolique qui menace la planète. De mauvaise grâce, Jack s'exécute, secondé par la scientifique Marsha, une passionnée de bandes dessinées qui idolâtre le Capitaine Zoom.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette adaptation cinématographique du livre de Jason Lethcoe, paru en 2001, a le malheur de sortir après X-MEN, SPY KIDS et surtout SKY HIGH. Du coup, les amateurs ne verront pas beaucoup d'originalité ni d'innovation dans le récit de ZOOM, un film familial à plus d'un titre. Pourtant, la prémisse, centrée sur le drame personnel du superhéros déchu, était fort prometteuse. Hélas, le scénario manque de cohésion, tandis que l'humour est très inégal et souvent puéril. Quant aux scènes évoquant le sentiment de rejet des jeunes héros, perçus comme des excentriques, elles apparaissent convenues au possible. Malgré quelques effets spéciaux amusants, la réalisation s'avère désordonnée, générant peu de réel suspense, et le montage plonge parfois le spectateur dans la confusion. Bien que les interprètes démontrent beaucoup d'enthousiasme, leur jeu est par moments chargé, voire caricatural.

Texte : Louis-Paul Rioux

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