É.-U. 2006. Comédie de Mort Nathan avec Kal Penn, Lauren Cohan, Daniel Percival. Admis dans une université huppée en Angleterre, un étudiant indo-américain d'origine modeste s'en prend à la fraternité la plus exclusive du campus. Ramassis de clichés de films de collégiens. Gags juvéniles. Mise en scène bâclée. Interprétation limitée. (sortie en salle: 1 décembre 2006)
Admis dans une université huppée en Angleterre, un étudiant indo-américain d'origine modeste s'en prend à la fraternité la plus exclusive du campus. Ramassis de clichés de films de collégiens. Gags juvéniles. Mise en scène bâclée. Interprétation limitée. (sortie en salle: 1 décembre 2006)
Que dire d'une suite à un film qui n'a connu qu'un succès relatif? Que penser d'un épisode 2 produit sans celui (Ryan Reynolds) qui jouait le rôle-titre de l'épisode 1? Les auteurs de cette comédie juvénile ont confié le rôle principal au faire-valoir de Van Wilder, Taj. L'intrigue, du reste, est un ramassis de clichés de films de collégiens, dont REVENGE OF THE NERDS, assortis d'un commentaire socio-politique plaqué sur le fossé qui sépare les riches et les pauvres. Cette critique de la discrimination basée sur la classe ou la race aurait certainement été plus convaincante si, parallèlement, le film n'était pas aussi sexiste. D'autre part, le charme et le potentiel comique de Kal Penn, si allumé dans HAROLD AND KUMAR GO TO WHITE CASTLE, sont gravement compromis par la médiocrité du scénario et la mise en scène bâclée de Mort Nathan, qui avait commis en 2002 le navrant BOAT TRIP.
Texte : Kevin Laforest
Dennis Harvey - Variety
Penn is a talented comic actor who was far better served in HAROLD AND KUMAR GO TO WHITE CASTLE. There's not much he or any other cast member can do with this material. Same goes for sitcom vet, helmer Mort Nathan, although his sole prior bigscreen directorial effort was the equally execrable BOAT TRIP. Still, the man principally to blame is David Gallagher, a former actor turned first-time scenarist whose work here has a philosophical upside: If a screenplay this wretched can get produced and released by a major studio, then anything really is possible! Prod looks on the cheap side; tech aspects are passable.
Marc Savlov - The Austin Chronicle
Michael Rechtshaffen - The Hollywood Reporter
Michael Ordoña - The Los Angeles Times