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Tous les garçons aiment Mandy Lane (All the Boys Love Mandy Lane)

É.-U. 2006. Drame d'horreur de Jonathan Levine avec Amber Heard, Anson Mount, Michael Welch. Au cours d'un week-end dans un ranch isolé appartenant au père de l'un d'eux, six étudiants texans sont attaqués par un mystérieux agresseur. Intrigue archiclassique bourrée de clichés. Dialogue souvent stupide. Coup de théâtre final peu crédible. Réalisation racoleuse. Tension dramatique inexistante. Interprétation à peine potable.

13 ans + (violence)
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Tous les garçons aiment Mandy Lane (All the Boys Love Mandy Lane)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 2006. Drame d'horreur de Jonathan Levine avec Amber Heard, Anson Mount, Michael Welch.

Au cours d'un week-end dans un ranch isolé appartenant au père de l'un d'eux, six étudiants texans sont attaqués par un mystérieux agresseur. Intrigue archiclassique bourrée de clichés. Dialogue souvent stupide. Coup de théâtre final peu crédible. Réalisation racoleuse. Tension dramatique inexistante. Interprétation à peine potable.

Genre :
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Après avoir obtenu la permission de sa tante, qui l'a élevée depuis la mort de ses parents, l'adolescente Mandy Lane accepte l'invitation de son copain Red d'aller passer le week-end dans le ranch de son père avec quatre autres amis. Sur place, le groupe est accueilli par Garth, le contremaître du domaine. Au cours de la soirée, l'alcool et la drogue aidant, les esprits s'échauffent. Victime d'une plaisanterie douteuse, l'un des jeunes sort dehors en pleine nuit. Il est aussitôt rejoint par sa petite amie, qui le réconforte. Malheureusement pour eux, un mystérieux tueur rôde dans les parages...

L’AVIS DE MEDIAFILM

Premier long métrage de Jonathan Levine (50/50, WARM BODIES), cette production fauchée aurait dû rester sur les tablettes où elle dormait depuis 2006. Intrigue convenue, développements prévisibles, clichés à la pelle, dialogue stupide, dénouement ridicule, le bilan est lourd. Si au moins la réalisation et le jeu des comédiens avaient pallié ces défauts en nous faisant rire ou frémir. Mais non. Ni parodie, ni hommage, le film se contente d'aligner les scènes attendues, sans aucune tension dramatique, et d'escamoter celles qui auraient pu donner un peu de piquant à l'affaire. Ne subsistent qu'un ennui profond et le désir d'en finir au plus vite. À tout le moins, la photographie est de qualité et Amber Heard (PARANOIA), alors toute jeune, est belle à croquer, dominant sans effort une distribution tout juste potable. Mais cela ne justifie pas la sortie tardive de cette série B maniérée.

Texte : Olivier Lefébure

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