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Pulsations (Pulse)

É.-U. 2006. Drame d'horreur de Jim Sonzero avec Kristen Bell, Christina Milian, Ian Somerhalder. Une jeune femme découvre qu'un virus informatique permet aux fantômes d'extirper l'essence vitale des humains qui entrent en contact avec eux. Remake décevant du film japonais "Kaïro". Recyclage d'éléments communs au genre. Réalisation tapageuse aux effets-choc convenus. Montage haché. Jeu peu convaincant.

13 ans + (horreur)
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Pulsations (Pulse)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 2006. Drame d'horreur de Jim Sonzero avec Kristen Bell, Christina Milian, Ian Somerhalder.

Une jeune femme découvre qu'un virus informatique permet aux fantômes d'extirper l'essence vitale des humains qui entrent en contact avec eux. Remake décevant du film japonais "Kaïro". Recyclage d'éléments communs au genre. Réalisation tapageuse aux effets-choc convenus. Montage haché. Jeu peu convaincant.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Après le suicide de son petit ami Josh, Mattie reçoit des courriels d'outre-tombe lui demandant de l'aide. Croyant que l'ordinateur du défunt est toujours en fonction, elle charge deux copains d'aller le débrancher. Quand ces derniers disparaissent, la jeune femme retourne à l'appartement de Josh et apprend qu'un certain Dexter a récupéré l'appareil depuis plusieurs jours. Le jeune homme a découvert qu'un virus a été libéré par le disparu dans le cyberespace, permettant à des fantômes d'entrer en contact avec les vivants pour extirper leur essence vitale. Mattie et Dexter tentent par tous les moyens de retrouver l'origine du virus pour le détruire avant que le monde entier ne soit contaminé par les spectres.

L’AVIS DE MEDIAFILM

PULSE allonge la liste déjà considérable des drames d'horreur qui, depuis les années 1990, démonisent Internet et les ordinateurs. Simultanément, le film de Jim Sonzero s'inscrit dans la lignée des remakes japonais qui défilent sur les écrans depuis le grand succès de THE RING. Le scénario recycle d'ailleurs un grand nombre d'éléments communs à tous ces films, à commencer par les dérapages des nouvelles technologies, puis l'élimination progressive des protagonistes. Quelques images assez lugubres et une photographie délavée tentent bien de rehausser le produit, mais la réalisation tapageuse, impuissante à créer un climat propice à l'horreur, repose plutôt sur les effets-choc usuels créés par un montage haché et des effets sonores tonitruants. Face à des personnages à peine esquissés, les interprètes ne semblent pas avoir le coeur à l'ouvrage.

Texte : André Caron

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