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Pénélope (Penelope)

G.-B. 2006. Conte de Mark Palansky avec Christina Ricci, James McAvoy, Catherine O'Hara. Une jeune aristocrate affublée d'un nez de cochon en raison d'une malédiction s'éprend d'un parieur fauché. Récit laborieux librement inspiré de «La Belle et la Bête». Assemblage hétéroclite d'éléments fantastiques, burlesques et romantiques. Réalisation conventionnelle. Interprétation dans le ton voulu.

Général
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Pénélope (Penelope)

Général Général

G.-B. 2006. Conte de Mark Palansky avec Christina Ricci, James McAvoy, Catherine O'Hara.

Une jeune aristocrate affublée d'un nez de cochon en raison d'une malédiction s'éprend d'un parieur fauché. Récit laborieux librement inspiré de «La Belle et la Bête». Assemblage hétéroclite d'éléments fantastiques, burlesques et romantiques. Réalisation conventionnelle. Interprétation dans le ton voulu.

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Victime d'une malédiction ancestrale, la jeune Pénélope est affublée depuis sa naissance? d'un nez de cochon. Pour éloigner la presse à scandales, ses parents l'obligent à se cacher dans le château familial, où la frustration de la jeune aristocrate va croissant. Sa mère, convaincue qu'un mariage avec un homme au sang bleu pourrait renverser le mauvais sort qui la frappe, lui impose la visite de bons partis tenus au secret mais qui, à sa vue, prennent la fuite. Afin de prouver l'existence de la jeune femme, véritable mythe en dehors de l'enceinte du château, un journaliste fait appel à Max, un jeune parieur fauché, et le charge de se faire passer pour un digne prétendant de façon à gagner la confiance de Pénélope.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Librement inspiré de «La Belle et la Bête» et ancré dans un décor contemporain américain assorti de touches Vieille-Europe, PENELOPE est un assemblage hétéroclite de conte fantastique, de comédie sentimentale et de burlesque. Ce dernier registre est défendu par l'excellente Catherine O'Hara, dont le rôle de mère surprotectrice détonne au sein d'une distribution plus homogène. Malgré l'absurdité de la proposition, et par-delà l'horrible prothèse nasale dont elle est affublée et qui ne trompe personne, Christina Ricci se prête au jeu avec une candeur louable. Ce curieux fouillis artistique ne parvient cependant pas à nous faire croire à la fatalité qui s'abat sur son personnage, encore moins à raffiner la laborieuse intrigue qui nous la fait passer de l'ombre à la lumière.

Texte : André Lavoie

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